C'est à vous de décider si ce fichier doit être mis en avant.
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Les états d'âme de Paul Taylor (humoriste anglais installé en France) à propos du brexit dans une lettre ouverte à sa fille franco-anglaise de 18 mois.
Avis aux personnes émotives: préparez un mouchoir au cas où.
PS:Prévoyez peut-être aussi un seau de pop-corn pour la section commentaires^^.
Le Brexit risque de nous coûter bien plus cher qu’aux anglais. Donc allez-y, rigolez bien mais au bout du compte c’est NOUS français qui allons payer le plus cher pour une décision dans laquelle on n’a pas eu notre mot à dire. Donc les anglais aussi peuvent bien se marrer, ils sont pas les pires victimes de leur connerie.
Oui, ça va nous coûter très cher, et beaucoup plus qu'aux Britanniques.
Mais ce n'est pas le Royaume Uni et sa décision de sortie de l'UE qui va nous coûter, c'est l'UE et notre « choix » d'y avoir adhéré et de ne l'avoir pas encore quittée.
Les milliards d'euros d'augmentation de notre participation nette au « machin » dus à l'arrêt de la participation du Royaume Uni, c'est l'UE qui en profitera. Les Britanniques n'en verront pas la couleur. Ne pas continuer à payer ces contributions en pure perte était d'ailleurs l'une des raisons du Brexit.
Les manques à gagner pour notre économie seront également le fait de la continuation de l'application des traités de l'UE et des ordonnances de la Commission, qui nous ont ôté la liberté de prendre les décisions politiques et commerciales qui nous seraient bénéfiques dans cette situation. Nous seront d'ailleurs les premiers perdants dans la volonté de l'UE de punir économiquement les Britanniques pour leur départ.
Quant à notre avis, nous l'avons déjà donné, notamment au référendum du traité de Maastricht (acceptation à 51,1%, participation de 69,7%) qui a consisté, par une modifier de notre Constitution, à signer un chèque en blanc donnant à l'institution supranationale le pouvoir de décider à notre place. Comme nous avons en fait « décidé » que l'avis de nos populations ne serait dorénavant plus pris en compte par l'UE, il serait malvenu de s'en plaindre aujourd'hui.
D'ailleurs, nous nous sommes également exprimés lors du référendum pour l'établissement de la Constitution de l'Europe en 2005 (rejet à 55%, participation de 69%), ce qui n'a pas empêché la ratification du traité de Lisbonne en 2008.
De leur côté, les Britanniques ont choisi de partir conformément aux règles établies par l'UE (article 50 du traité de Lisbonne). Cela n'empêche pas certains de suggérer qu'ils n'avaient pas le droit de le faire.
L’UE est un des derniers succédanés du fascisme européen – d’ailleurs elle est née dans la foulée de la 2e guerre mondiale, CECA tout ça – Elle en garde quelques principes dont le "There Is No Alternative" imposé aux peuples continentaux. S’il pouvait y avoir une définition du fascisme, ce serait bien la doctrine TINA. Mais pourquoi donc ?
En fait, l’expansion territoriale de ce qui était la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avait atteint déjà un tel niveau que pour l’Angleterre – mais en fait tous les autres pays du continent – nous étions un monstre territorial. Si l’on devait trouver un seul responsable, il s’agirait du mégalomaniaque Louis XIV qui rompit tous les équilibres territoriaux... Mais il y a une logique du temps et des hommes aussi. Toutefois, ce taré, qui disqualifia par son absolutisme (qui a dit fascisme ?! :) ) sa famille du pouvoir, pourtant exercé depuis près d’un millénaire, a un rôle de premier plan.
En tout état de cause, la taille de la France pour les autres pays européens pose problème. C’est vis-à-vis d’elle que se fait l’unité allemande sous l’égide de la Prusse. Maintenant que l’Allemagne a une taille comparable à la France, les guerres mondiales suivront logiquement...
La logique d’unification sous une même bannière des pays européens est en marche : fasciste quand c’est par les armes ou "démocratique" quand c’est par les votes frelatés. Le but à terme dans les deux cas est la "paix" pour que le business puisse se faire. Le reste est emballage... et nous voyons mourir nos cultures au nom de ce principe supra-étatique du commerce et de l’enrichissement personnel.
Et puis, il y a des accidents dans l’histoire : Churchill en 1940. Sans lui, tout le monde "blanc" aurait sans doute basculé dans le fascisme, USA compris. Et puis le Brexit.
Mais un Brexit sera vraiment réussi uniquement s’il est suivi d’autres sorties de l’UE. Wait and see ! ^^ Mais voilà pourquoi la position de la France était si dure : empêcher d’autres sorties...
Et mon avis personnel, c’est :
Halte au fascisme, FREXIT NOW ! :]
Je vais essayer de faire un commentaire de plus de 6 mots, contrairement, a mes contemporains qui cherchent la vanne facile.
Je comprends tout à fait le désarroi de ce monsieur, même si je ne suis pas directement concerner, ma femme et mes enfants étant "Français" à 100 % je pourrais ne rien en avoir à faire. Mais je fais parti de la génération 80, quand j'étais au primaire ont ma fait apprendre l'hymne de l'Union européenne, j'ai fait mes études avec des étudiant ERASMUS mais également avec des étudiants africains qui celons leur dire avais la chance de venir profiter de notre système éducatif grâce a divers programmes.
Bien évidemment, l'Union européenne actuelle est ultra libéral et à vomir sur pas mal de chose, probablement surtout pour nous Français habituer a plus de social, même pour les plus riches d'entre nous. Mais il n'empêche que cette Europe m'a fait connaître plein de diversité, ma donnée envie de voyager et de visiter beaucoup de ses capitales, car l'espace Schengen m'en avait donné le droit... Et chaque mélange entre pays était un potentiel pas en arrière vers une possible guerre futur sur un continent qui se déchire depuis plus de 2000 ans. Ce Brexit, c'est une potentielle marche en arrière de tout ça...
Les possibilités nouvelles que l'UE aurait autorisées est un thème récurrent de sa propagande.
En réalité, si elle a rendu les choses plus simples dans certains domaines, celles-ci étaient déjà possibles auparavant, et les difficultés toutes relatives rencontrées alors présentaient même l'avantage d'éviter la plupart des problèmes que nous subissons aujourd'hui.
Pour ma part, depuis mon enfance dans les années 60, j'ai pu voyager partout en Europe et dans le monde, faire des achats, étudier, profiter d'échanges internationaux, et ce, bien avant l'avénement de l'UE, de Schengen, d'Erasmus et de l'Euro. L'absence des institutions supranationales rendait même les grands projets français et européens possibles ; la France était encore une puissance mondiale indépendante de premier plan ; notre économie, nos industries et notre protection sociale étaient encore debout ; les normes françaises étaient une assurance de qualité ; le dernier mouvement de la 9ème symphonie de Beethoven n'avait pas la connotation politique qu'on lui connaît maintenant. Grâce à nos efforts de productivité et à une meilleure répartition des richesses qu'aujourd'hui, nous étions sur le point de réaliser une société des savoirs et des loisirs... à laquelle les capitalistes néolibéraux se sont empressés de mettre fin.
Avec le recul, je peux affirmer que les mélanges entre pays et le rejet des anciens principes d'intégration ont surtout créé des communautarismes et exacerbé des tensions liées aux différences de culture et à la concurrence économique, que l'UE nous a empêché de faire face à diverses crises et agressions, mais qu'en revanche sa construction ne nous a en rien évité d'être impliqués dans des conflits armés. La différence, c'est que maintenant nous sommes tenus de participer aux manigances de l'OTAN au détriment de nos propres intérêts et de notre propre sécurité, et que notre souveraineté nationale et notre dissuasion nucléaire qui nous mettaient relativement à l'abri en ont pris un coup. Tout cela risquerait bien d'aboutir à une guerre armée sur notre territoire, voire à la dernière guerre mondiale... à moins qu'une guerre civile nous emporte avant.
Orthographe et grammaire devaient être absentes de tes voyages et rencontres ...
Ouais je sais ce n'est pas sympa comme remarque, mais j'en ai de la peine à te lire !!
Des gens du monde entier vienne étudier en Angleterre alors qu'ils viennent de pays hors de l'UE.
ça sera peut être plus de complication administrative mais ça existera toujours.
Je t'invite à te renseigner sur le nouveau système à points qui est maintenant en vigueur et qui concernera aussi les étudiants étrangers à partir de la prochaine rentrée étudiante. Il ne s'agit pas que de complications administratives mais d'une impossibilité pure et simple d'étudier en Angleterre pour certains qui auraient jusque là pu y prétendre sans problème.
modul Vermisseau
Ascaris Vermisseau
john5 En réponse à Ascaris
Sources :
https://www.you...h?v=ZWQcmXnbGZY
https://www.cap...s-etude-1291656
_pepe_ En réponse à john5
Mais ce n'est pas le Royaume Uni et sa décision de sortie de l'UE qui va nous coûter, c'est l'UE et notre « choix » d'y avoir adhéré et de ne l'avoir pas encore quittée.
Les milliards d'euros d'augmentation de notre participation nette au « machin » dus à l'arrêt de la participation du Royaume Uni, c'est l'UE qui en profitera. Les Britanniques n'en verront pas la couleur. Ne pas continuer à payer ces contributions en pure perte était d'ailleurs l'une des raisons du Brexit.
Les manques à gagner pour notre économie seront également le fait de la continuation de l'application des traités de l'UE et des ordonnances de la Commission, qui nous ont ôté la liberté de prendre les décisions politiques et commerciales qui nous seraient bénéfiques dans cette situation. Nous seront d'ailleurs les premiers perdants dans la volonté de l'UE de punir économiquement les Britanniques pour leur départ.
Quant à notre avis, nous l'avons déjà donné, notamment au référendum du traité de Maastricht (acceptation à 51,1%, participation de 69,7%) qui a consisté, par une modifier de notre Constitution, à signer un chèque en blanc donnant à l'institution supranationale le pouvoir de décider à notre place. Comme nous avons en fait « décidé » que l'avis de nos populations ne serait dorénavant plus pris en compte par l'UE, il serait malvenu de s'en plaindre aujourd'hui.
D'ailleurs, nous nous sommes également exprimés lors du référendum pour l'établissement de la Constitution de l'Europe en 2005 (rejet à 55%, participation de 69%), ce qui n'a pas empêché la ratification du traité de Lisbonne en 2008.
De leur côté, les Britanniques ont choisi de partir conformément aux règles établies par l'UE (article 50 du traité de Lisbonne). Cela n'empêche pas certains de suggérer qu'ils n'avaient pas le droit de le faire.
Libel En réponse à _pepe_ Vermisseau
En fait, l’expansion territoriale de ce qui était la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avait atteint déjà un tel niveau que pour l’Angleterre – mais en fait tous les autres pays du continent – nous étions un monstre territorial. Si l’on devait trouver un seul responsable, il s’agirait du mégalomaniaque Louis XIV qui rompit tous les équilibres territoriaux... Mais il y a une logique du temps et des hommes aussi. Toutefois, ce taré, qui disqualifia par son absolutisme (qui a dit fascisme ?! :) ) sa famille du pouvoir, pourtant exercé depuis près d’un millénaire, a un rôle de premier plan.
En tout état de cause, la taille de la France pour les autres pays européens pose problème. C’est vis-à-vis d’elle que se fait l’unité allemande sous l’égide de la Prusse. Maintenant que l’Allemagne a une taille comparable à la France, les guerres mondiales suivront logiquement...
La logique d’unification sous une même bannière des pays européens est en marche : fasciste quand c’est par les armes ou "démocratique" quand c’est par les votes frelatés. Le but à terme dans les deux cas est la "paix" pour que le business puisse se faire. Le reste est emballage... et nous voyons mourir nos cultures au nom de ce principe supra-étatique du commerce et de l’enrichissement personnel.
Et puis, il y a des accidents dans l’histoire : Churchill en 1940. Sans lui, tout le monde "blanc" aurait sans doute basculé dans le fascisme, USA compris. Et puis le Brexit.
Mais un Brexit sera vraiment réussi uniquement s’il est suivi d’autres sorties de l’UE. Wait and see ! ^^ Mais voilà pourquoi la position de la France était si dure : empêcher d’autres sorties...
Et mon avis personnel, c’est :
Halte au fascisme, FREXIT NOW ! :]
Clansman irkblmo
je-sappelle-prout En réponse à Clansman Vermisseau
_pepe_ En réponse à je-sappelle-prout
Flaneur Ver TikToké
Edit: apres ce n’est encore qu’un au revoir l’histoire entre la Grande Bretagne et l’Europe n’arrête pas de changer .
procureur Lombric
Sylfaen Vermisseau
Henry_Hill Ver macht addikkkt
ZzZzZ Vermisseau
Je comprends tout à fait le désarroi de ce monsieur, même si je ne suis pas directement concerner, ma femme et mes enfants étant "Français" à 100 % je pourrais ne rien en avoir à faire. Mais je fais parti de la génération 80, quand j'étais au primaire ont ma fait apprendre l'hymne de l'Union européenne, j'ai fait mes études avec des étudiant ERASMUS mais également avec des étudiants africains qui celons leur dire avais la chance de venir profiter de notre système éducatif grâce a divers programmes.
Bien évidemment, l'Union européenne actuelle est ultra libéral et à vomir sur pas mal de chose, probablement surtout pour nous Français habituer a plus de social, même pour les plus riches d'entre nous. Mais il n'empêche que cette Europe m'a fait connaître plein de diversité, ma donnée envie de voyager et de visiter beaucoup de ses capitales, car l'espace Schengen m'en avait donné le droit... Et chaque mélange entre pays était un potentiel pas en arrière vers une possible guerre futur sur un continent qui se déchire depuis plus de 2000 ans. Ce Brexit, c'est une potentielle marche en arrière de tout ça...
_pepe_ En réponse à ZzZzZ
En réalité, si elle a rendu les choses plus simples dans certains domaines, celles-ci étaient déjà possibles auparavant, et les difficultés toutes relatives rencontrées alors présentaient même l'avantage d'éviter la plupart des problèmes que nous subissons aujourd'hui.
Pour ma part, depuis mon enfance dans les années 60, j'ai pu voyager partout en Europe et dans le monde, faire des achats, étudier, profiter d'échanges internationaux, et ce, bien avant l'avénement de l'UE, de Schengen, d'Erasmus et de l'Euro. L'absence des institutions supranationales rendait même les grands projets français et européens possibles ; la France était encore une puissance mondiale indépendante de premier plan ; notre économie, nos industries et notre protection sociale étaient encore debout ; les normes françaises étaient une assurance de qualité ; le dernier mouvement de la 9ème symphonie de Beethoven n'avait pas la connotation politique qu'on lui connaît maintenant. Grâce à nos efforts de productivité et à une meilleure répartition des richesses qu'aujourd'hui, nous étions sur le point de réaliser une société des savoirs et des loisirs... à laquelle les capitalistes néolibéraux se sont empressés de mettre fin.
Avec le recul, je peux affirmer que les mélanges entre pays et le rejet des anciens principes d'intégration ont surtout créé des communautarismes et exacerbé des tensions liées aux différences de culture et à la concurrence économique, que l'UE nous a empêché de faire face à diverses crises et agressions, mais qu'en revanche sa construction ne nous a en rien évité d'être impliqués dans des conflits armés. La différence, c'est que maintenant nous sommes tenus de participer aux manigances de l'OTAN au détriment de nos propres intérêts et de notre propre sécurité, et que notre souveraineté nationale et notre dissuasion nucléaire qui nous mettaient relativement à l'abri en ont pris un coup. Tout cela risquerait bien d'aboutir à une guerre armée sur notre territoire, voire à la dernière guerre mondiale... à moins qu'une guerre civile nous emporte avant.
modul En réponse à _pepe_ Vermisseau
Narf En réponse à ZzZzZ LoMBriK addict !
Ouais je sais ce n'est pas sympa comme remarque, mais j'en ai de la peine à te lire !!
34good Vermisseau
Bellus
ça sera peut être plus de complication administrative mais ça existera toujours.
Funstrip En réponse à Bellus Asticot
Libel Vermisseau