Quelques vieux conseils, pas inutiles en ces temps de pandémie

Envoyé par le-long-brick le 5 novembre 2020 à 17h13

14 commentaires

Tri par popularité

Tri chronologique

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GruikMan Vermisseau

faites au moins une lieue par jour (avec 135 euros en poche)..

Il y a 4 ans

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_pepe_ En réponse à GruikMan

Un esprit chagrin pourrait objecter :
- qu'une lieue correspond justement à la distance parcourue à pied à une allure moyenne en une heure (durée de la balade quotidienne autorisée) ;
- qu'à la seconde infraction, l'amende est portée à 200 € ;
- qu'en tournant de tourner en rond chez soi toute la journée, on peut parcourir des distances encore plus grandes.

Il y a 4 ans

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Krogoth En réponse à GruikMan LoMBriK addict !

Hier j'ai fait une sortie a vélo...12 km sans sortir de mon périmètre et sans faire des aller-retour...

Il y a 4 ans

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GruikMan En réponse à Krogoth Vermisseau

vélo d'appart avec écran paysage ?

Il y a 4 ans

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alextazy0 Asticot

La comparaison entre image c'est souvent:
Être riche (Bon) || Être Pauvre (mauvais)

Il y a 4 ans

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doomy En réponse à alextazy0 Lombric Shaolin

Quelle idée d'être pauvre aussi.

Il y a 4 ans

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Rwan En réponse à doomy

Ouais y'en a mare, les pauvres font jamais d'efforts pour devenir riche.

Il y a 4 ans

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Limou En réponse à alextazy0 Vermisseau

Je ne vois pas en quoi ouvrir une fenêtre c'est un truc de riche.

Il y a 4 ans

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alextazy0 En réponse à Limou Asticot

À cette époque grandes fenêtres ou plein de fenêtres == richesse. Pas de fenêtre == moins d’impôts, en plus du coût du vitrage en lui-même.

https://fr.wiki...t_fen%C3%AAtres

Pareillement, on fermait souvent les berceaux pour protéger les nourrissons du froid… car oui, le chauffage == richesse aussi, surtout les chauffages à combustion rapide.

Etc…

Il y a 4 ans

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Limou En réponse à alextazy0 Vermisseau

Il y avait peut-être plus de fenêtres dans les maisons bourgeoises mais dans les foyers les plus pauvres il était rare d'avoir des fenêtres en verre, il s'agissait de simples trous que l'on tendait d'une peau huilée en hiver. Sans même parler de l'usage du foyer ouvert qui assurait de toute façon une bonne ventilation (le feu "tire" sur l'air dont il a besoin à travers les huisseries, c'est pour ça qu'il est conseillé d'avoir une arrivée d'air près du poêle même encore maintenant)

Quant au chauffage, c'est bien simple, tout le monde se caillait (même si le manque de combustible pouvait être plus ressenti par les plus pauvres) car le problème venait de la technologie employée : un foyer ouvert, ça ne chauffe pas à 21 degrés quelque soit la quantité de bois que l'on met dedans. Les pratiques d'emmaillotage, de couverture des lits (pas que des berceaux) et de sanglage des nourrissons étaient courantes dans tous les milieux sociaux.

Il y a 4 ans

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alextazy0 En réponse à Limou Asticot

Ok donc, étant pauvre t'avais donc le choix entre froid et bien aéré. Pour certains la question elle est vite répondu.

Il y a 4 ans

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Limou En réponse à alextazy0 Vermisseau

Tu avais le choix entre avoir froid et froid, les "huisseries" des plus pauvres laissant de toute façon passer l'air.
Je pense qu'au contraire ces conseils s'adressaient plutôt aux plus riches qui avaient la possibilité matérielle de calfeutrer leur logement avant l'hiver, et celle de ne rien glander (faire de la prévention sur l'exercice physique des enfants de paysans n'ayant aucun sens).

Il y a 4 ans

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alextazy0 En réponse à Limou Asticot

Je ne vois pas où cette joute dans laquelle tu m'as plus ou moins entraîné peux mener… On ne va pas débattre de la quantité de flux suffisante ou non, de la perte calorifique induite par convection ou conduction, de savoir si l'activité à l'usine, minière ou champêtre des enfants peut être vu comme une activité physique saine, ou si les pauvres avaient la possibilité matérielle de calfeutrer ou non leur logement au point ou l'air pourrait y être vicié. Nous n'avons clairement pas assez de matière pour établir des généralités objectives.

De plus "Tu avais le choix entre avoir froid et froid" n'est pas très intellectuellement pesant comme argument car il y a bien des gradations dans ce que l'on peut qualifier de "froid", n'est-ce pas?

Je veux bien accepter toutefois de pouvoir voir ces conseils comme s'adressant uniquement aux riches; pourquoi pas, même si c'est débattable et que je n'y crois pas trop personnellement. Je pencherais plutôt pour un manque de conscience de la réalité profonde de la condition de "pauvre" par les auteurs, un peu comme doomy Et Rwan ci-dessus ironisent à ce sujet.

Pour en revenir au début tu disais « Je ne vois pas en quoi ouvrir une fenêtre c'est un truc de riche.» et moi de répondre en substance (s'il faut encore substantiver), que les fenêtres en elles-mêmes étaient un truc de riches, et toi, peu ou prou de confirmer, tout en tentant de te placer en opposition à ce que je te répondais…

Il y a 4 ans