Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver
Mon jardin, ce n'est pas un jardin, c'est la plaine
Mon chemin, ce n'est pas un chemin, c'est la neige
Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver
Dans la blanche cérémonie
Où la neige au vent se marie
Dans ce pays de poudrerie
Mon père a fait bâtir maison
Et je m'en vais être fidèle
À sa manière, à son modèle
La chambre d'amis sera telle
Qu'on viendra des autres saisons
Pour se bâtir à côté d'elle
Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver
Mon refrain, ce n'est pas un refrain, c'est rafale
Ma maison, ce n'est pas ma maison, c'est froidure
Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver
De ce grand pays solitaire
Je crie avant que de me taire
À tous les hommes de la terre
Ma maison, c'est votre maison
Entre ses quatre murs de glace
Je mets mon temps et mon espace
À préparer le feu, la place
Pour les humains de l'horizon
Et les humains sont de ma race
Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver
Mon jardin, ce n'est pas un jardin, c'est la plaine
Mon chemin, ce n'est pas un chemin, c'est la neige
Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver
Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'envers
D'un pays qui n'était ni pays ni patrie
Ma chanson, ce n'est pas ma chanson, c'est ma vie
C'est pour toi que je veux posséder mes hivers
Paroliers : Gilles Vigneault / Lucie Therrien
La contrepèterie
Le nom du jeu vient de l’ancien français «contrepéter» (rendre un son pour un autre). La contrepèterie est, en effet, l’interversion de lettres ou de syllabes dans un mot ou un groupe de mots de manière à produire un effet burlesque, à amener parfois, et même souvent il faut l’avouer, une grivoiserie. Les chansonniers ont souvent recours aux contrepèteries les plus classiques telles que: «J’ai reçu un mou de veau» (un mot de vous) et la déclaration: «Mademoiselle, vous êtes bien véreuse» (rêveuse). Il est aussi divertissant de dépister une contrepèterie que de l’inventer. Il ne faut pas confondre, par exemple: «La maison du sage et la saison du mage», «le tarot et le râteau», «le marin change le mât et le marin chat.»
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1732046/pho-king-bon-restaurant-vietnamien-racisme-excuse-guillaume-boutin
Envoyé par NainPorteQui le 8 septembre 2020 à 22h58
GruikMan Vermisseau
MasoCBT En réponse à GruikMan Vermisseau
lebaud07
alextazy0 Asticot
Kudsak En réponse à alextazy0 Vermisseau
ptesau En réponse à alextazy0 LoMBriK addict !
* Sting-her : y'a de la crème blanche... et le nom fait référence à une fille (her), voilà voilà
* Pho's grosses boules : là encore référence sexuelle avec la liqueur d'abricot
* Lichi Mwa Lku : "lèche moi le cul"
* Pho-bee : "phobie"
NainPorteQui En réponse à alextazy0 Vermisseau
De nombreux membres de la communauté vietnamienne reprochent au bistro d’utiliser leur culture et leur langue de façon dégradante.
Lichi Mwa Lku : lèche moi le cul
Pho’s grosses boule : fausse grosses boules.
Viet Kong : complètement raciste.
le restaurateur voulait faire parler de lui, mais pas de la bonne manière .