Bonne réflexion.
Ça me fait penser à ces 3 types qui sont dans la savane, un anglais, un français et un belge, qui comparent les dispositions qu'ils ont prévu en cas d'attaque de lion.
L'anglais, flegmatique, a prévu un bandeau, pour se bander les yeux et accepter la mort dignement.
Le français a sa carabine, prêt à faire feu à la moindre menace.
Et le belge a une enclume.
"-une enclume? drôle d'idée, comment tu vas te servir de ton enclume en cas d'attaque de lion?
- C'est simple, si un lion attaque, je me sauve en courant le plus vite possible. et si il commence à me rattraper, je me débarrasse de l'enclume, et comme ça je cours encore plus vite."
Bon, elle est plus drôle de vive voix celle là, je m'en rends bien compte en l'écrivant.
j'en connais une du même style :
2 gars dans la savane aperçoivent un lion qui semble vouloir passer à table. Un des gars, pose calmement son sac à dos à terre, en sort une pair de basket et commence à les enfiler.
L'autre un peu surpris lui demande :
-Tu crois vraiment que tu vas courir plus vite que le lion avec ces chaussures ?
-Je n'ai pas besoin de courir plus vite que le lion, juste plus vite que toi !
A la Spaggiari... :
Le 10 mars 1977, Albert Spaggiari, Robert Desroches et Michel Brusot mettent à exécution le plan d'évasion. À 15 h, Spaggiari, fébrile en présence de son avocat Jacques Peyrat et du juge Richard Bouazis, demande d'abord au juge de faire sortir du bureau son escorte, sous prétexte de révélations à faire concernant des individus haut placés de la politique locale, ce que fait Richard Bouazis. Albert Spaggiari, fournit alors au juge qui l'entend trois gribouillis représentant un plan d'accès au tunnel des coffres, sur trois feuilles, en les présentant comme une preuve. Le juge les examine alors, mais semble ne pas comprendre les croquis. Spaggiari se lève donc en prétextant vouloir expliquer plus en détail au magistrat les documents qu'il lui a remis, il s'approche de la fenêtre du bureau et saute du deuxième étage sept mètres plus bas sur le toit d'une voiture garée le long du trottoir. Il parvient à s'échapper grâce à un complice qui l'attend en moto. Beau joueur, il envoie au propriétaire de la Renault 6 endommagée un mandat de 5 000 francs au nom d'Albert Mandrino, en guise de remboursement. https://fr.wiki...lbert_Spaggiari
Jakarta Lombric
phil_good En réponse à Jakarta Ver singe (et torix)
trucmoi Ver d'os
alextazy0 En réponse à trucmoi Asticot
fwan6 En réponse à trucmoi cabwL
Ça me fait penser à ces 3 types qui sont dans la savane, un anglais, un français et un belge, qui comparent les dispositions qu'ils ont prévu en cas d'attaque de lion.
L'anglais, flegmatique, a prévu un bandeau, pour se bander les yeux et accepter la mort dignement.
Le français a sa carabine, prêt à faire feu à la moindre menace.
Et le belge a une enclume.
"-une enclume? drôle d'idée, comment tu vas te servir de ton enclume en cas d'attaque de lion?
- C'est simple, si un lion attaque, je me sauve en courant le plus vite possible. et si il commence à me rattraper, je me débarrasse de l'enclume, et comme ça je cours encore plus vite."
Bon, elle est plus drôle de vive voix celle là, je m'en rends bien compte en l'écrivant.
Jackyzgood En réponse à fwan6 Lombric
2 gars dans la savane aperçoivent un lion qui semble vouloir passer à table. Un des gars, pose calmement son sac à dos à terre, en sort une pair de basket et commence à les enfiler.
L'autre un peu surpris lui demande :
-Tu crois vraiment que tu vas courir plus vite que le lion avec ces chaussures ?
-Je n'ai pas besoin de courir plus vite que le lion, juste plus vite que toi !
fwan6 En réponse à Jackyzgood cabwL
tametame En réponse à fwan6 Jeune lombric
Kudsak En réponse à fwan6 Vermisseau
le-long-brick Longbric
timotheo Vermisseau
MuletPower Vermisseau
Le 10 mars 1977, Albert Spaggiari, Robert Desroches et Michel Brusot mettent à exécution le plan d'évasion. À 15 h, Spaggiari, fébrile en présence de son avocat Jacques Peyrat et du juge Richard Bouazis, demande d'abord au juge de faire sortir du bureau son escorte, sous prétexte de révélations à faire concernant des individus haut placés de la politique locale, ce que fait Richard Bouazis. Albert Spaggiari, fournit alors au juge qui l'entend trois gribouillis représentant un plan d'accès au tunnel des coffres, sur trois feuilles, en les présentant comme une preuve. Le juge les examine alors, mais semble ne pas comprendre les croquis. Spaggiari se lève donc en prétextant vouloir expliquer plus en détail au magistrat les documents qu'il lui a remis, il s'approche de la fenêtre du bureau et saute du deuxième étage sept mètres plus bas sur le toit d'une voiture garée le long du trottoir. Il parvient à s'échapper grâce à un complice qui l'attend en moto. Beau joueur, il envoie au propriétaire de la Renault 6 endommagée un mandat de 5 000 francs au nom d'Albert Mandrino, en guise de remboursement.
https://fr.wiki...lbert_Spaggiari