"Charger des briques, n'importe qui peut le faire ..."

Ecoute moi bien Jean-Kévin ...

(Jean-kèv' taf' dans la com', s'éclate en afterwork et fait des descentes de rue en chaise de bureau avec ses potes, pardon ses collègues, ses patrons, enfin il ne sait plus très bien parce que y'a pas de hiérarchie dans sa boîte tu vois, ils sont tous égaux. Ce qui lui permet d'être disruptif même à 4h du mat' quand son pote a besoin de lui. Ah nan, à cette heure là c'est son boss. Bref, je m'égare.)

Envoyé par tomteub le 21 octobre 2019 à 23h02

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Sekhmet Vermisseau

- insérer musique de Tetris -
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titouille En réponse à Sekhmet

En mashup avec la musique de Super Mario Bros! ;-)
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fwan6 cabwL

C est filmé a l'envers, non?
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Screugneugneu1 En réponse à fwan6 Vermisseau

oui les briques sautes elles memes dans son outil :O
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Tintinmarre Vermisseau

Il a bien changé Mario
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dhyb Vermisseau

Il doit vraiment se faire chier au taf pour construire un mur de brique en démontant un autre à côté. Perso, je serais patron, je lui offrirais un gant spécial pour le geste mais pas plus.
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glurp En réponse à dhyb LoMBriK addict !

Il charge un camion ici
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dhyb En réponse à glurp Vermisseau

Aaahhh! D'accoooord!
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Boozy LoMBriK addict !

C'est quoi ton histoire de Jean-kev' qu'a aucun rapport?
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tomteub En réponse à Boozy Vermisseau

C'est parce que trop de gens dénigrent les métiers manuels sans savoir de quoi ils parlent, les Jean-Kevin, pour justifier les écarts de salaire et les rapports hiérarchiques.
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Boozy En réponse à tomteub LoMBriK addict !

Ah? Et t'as déjà été haut placé hiérarchiquement dans une boite privée, pour dénigrer?
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tomteub En réponse à Boozy Vermisseau

Nan, effectivement. Mais j'ai des gens autour de moi qui occupent ces postes. A chaque fois la justification c'est : "Tu sais, je ramène du stress à la maison, les problèmes du boulot, blabla."
Les personnes ouvrières ou salariées du bas de l'échelle aussi ramènent le stress du boulot à la maison, sauf qu'elles n'ont pas la même peur.
La personne cadre a peur de n'être pas reconnue à sa juste valeur, au pire de devoir trouver un poste qui la satisferait moins, de rater une opportunité de progression. Passé 50 ans la question du chômage peut se poser. (Je rappelle que le taux de chômage chez les cadres est de 3-4%, c'est à dire qu'on est au "plein emploi".)
La personne cadre, sauf problèmes de gestion personnels, n'a pas peur de manquer, n'a pas peur de ne pas pouvoir satisfaire aux besoins de sa famille, n'a pas la frustration de ne pas pouvoir. Elle se repose dans son logement spacieux, fait son barbecue dans son jardin avec ses amis cadres ou mange au resto, se réjouit (le plus souvent) de voir jouer à plein la reproduction sociale pour ses enfants.
La personne salarié ou ouvrière ramène les mêmes angoisses quand à la reconnaissance personnelle, mis s'y rajoute la peur du chômage bien plus présente, et pour beaucoup de personnes, la question de la précarité. Financière pour les bas salaires, et donc matérielle, insécurité temporelle pour les CDD et intérimaires, précarité dans la satisfaction des besoins, des désirs, etc. L'impossibilité de répondre aux modèles imposés, l'intégration dans le schéma de pensée du fait d'être "inférieur", la peur transmise aux enfants, etc.

Après y'a des gens, partout, qui sont heureux avec ce qu'ils ont, vivent bien, etc.

Mais pour moi, il n'y a aucune raison qui justifie les écarts de salaire, et de niveau de vie qui vont avec. Chaque personne qui fournit un travail le fait avec des compétences qui lui sont propres, et ne serait sûrement pas capable de faire le travail de son N+1 ou de son N-1. Certaines personnes ont besoin de se sentir cheffes pour se sentir épanouies. Que cette satisfaction soit leur récompense.
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StarKoala Vermisseau

Facil Cai filmé en arriair
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BonPublic Vermisseau

Il a l'air argile.
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