Parce qu'en fait, je m'en fous un peu qu'un mec lance quelques phrases chocs contre l'immigration ou pour la sécurité. Ce qui m'importe vraiment, c'est que le gars aime vraiment son peuple et cherche à le préserver. Ca commence par mettre au pas les banquiers, saisir les ultras-riches qui ne veulent pas mettre la main à la patte, favoriser le ré-enracinement, la dignité des humbles, la préservation de sa terre et de son patrimoine. Ma différence avec les rouges, c'est que pour moi, ce programme politique doit s'accompagner du rejet du multiculturalisme, d'une quête esthétique et spirituelle et d'une promotion de l'ordre et de la discipline. Or, chez Bolsonaro, je ne sens rien de tout ça. Il semble qu'il soit parti pour appliquer un programme de banquier, se contentant de buter la vermine criminelle (ce dont je le félicite). Il drague autant les patriotes que les sionistes, les francs-macs et les LGBTQPR+++, bref il mène une politique d'épicier et il faut vraiment être borné comme un gauche pour limiter son analyse à quelques saillies.
"Les principaux chantres de la réaction peuvent bien invoquer le Christ en permanence, leur seul saint patron est le monde des affaires. Les valeurs peuvent bien passer "avant tout" pour les électeurs, ils se mettent toujours au service de l'argent une fois qu'ils l'ont emporté. C'est d'ailleurs là une des marques distinctives du phénomène qui fut d'une absolue régularité au cours des précédentes décennies. L'avortement n'est jamais interdit. La discrimination positive n'est jamais abolie. L'industrie culturelle n'est jamais tenue de faire le ménage chez elle.
Ce fait intrigue tout particulièrement les observateurs. Et l'on s'attendrait à ce qu'il soit de même pour les vrais fidèles de la réaction. Leurs tribuns grandiloquents ne passent jamais à l'acte. Leur colère s'exaspère mais ils réélisent pourtant tous les deux ans leur héros de droite pour la deuxième, la troisième ou la vingtième fois. Le truc n'est jamais éventé et l'illusion jamais dissipée. Votez pour interdire l'avortement et vous aurez une bonne réduction de l'impôt sur le capital. Votez pour faire la nique à ces universitaires politiquement corrects et vous aurez la déréglementation de l'électricité. Votez pour résister au terrorisme et vous aurez la privatisation de la Sécurité sociale. Votez pour mettre une bonne taloche à l'élitisme et vous aurez un ordre social au sein duquel les riches sont plus riches qu'ils ne l'ont jamais été, les travailleurs dépourvus de tout pouvoir et les PDG rémunérés au-delà de tout imagination". Thomas Franck.
Il a juste décidé de quitter les accords de Paris, d'augmenter la déforestation, de supprimer 90% des autochtones dans l'Amazonie. Enfin bref, super campagne...
J'ai bien compris que ce que tu prônes est un gouvernement à la politique sociale assortie d'une préférence nationale dans tous les domaines. Défendre l'ouvrier de souche, et seulement lui, face à la grande finance internationale. Pour cela, rien ne vaut a force, voir le meurtre de la "vermine".
En somme, un national-socialisme de la grande époque.
ça s'appelle un sarcasme.
ça veut dire que tu n'as rien à voir avec un chasseur de nazi, et que traiter de nazi à tout va c'est juste ridicule, et ça n'est même plus (ou plus trop) dans le vent
Alors attention avec Marchais hein. Lui, considérait que tous les travailleurs, français, étrangers, immigrés, ont LES MEMES DROITS et que l'immigration est la conséquence du capitalisme. Pour les nationaux socialistes, les travailleurs nationaux ont forcément plus de droits que les autres et le reich ne s'est pas vraiment montré anticapitaliste. Notamment en "employant" une main d'œuvre "immigrée" (déportés, prisonniers, esclaves) dans la plupart de ses "grands travaux" et ses industries.
Et je ne vois pas très bien où tonton Georges légitimait le meurtre pour les délinquants et les criminel.
Donc non, ce n'est clairement pas le programme de Marchais.
Non non, je pense que tu n'as tout simplement pas compris le texte que tu cites, et les positions du PCF de l'époque.
Il y a deux degrés dans ce qu'il dit : au niveau international, tous les travailleurs de tous pays doivent avoir les même droit, c'est l'idéal communiste. Au niveau national, et tant que l'idéal communiste n'a pas été réalisé, chaque section doit préserver ses travailleurs et il faut s'opposer à l'immigration qui met en péril les droits des nationaux.
Il s'exprime bien en faveur d'une "préférence nationale.
Par ailleurs il y a beaucoup de mauvaise foi dans cette lettre, notamment sur la position du PCF qui respecterait l'islam (la seule chose vraie c'est qu'il n'y a pas de discrimination entre religions dans le communisme puisque toutes sont à détruire) ou encore sur les prises de position face au colonialisme.
Il est très clairement noté dans le texte en question que des dispositions doivent être prises pour assurer la défense des droits des travailleurs immigrés et leurs familles.
oui ceux qui sont déjà là mais ça n'empêche pas de se positionner très clairement pour la préférence nationale. Protéger les siens ça ne veut pas dire assassiner tous les autres hein
C'est déjà une différence assez énorme par rapport au national-socialisme du XXeme qui ne embarrassait pas trop de ceux qui étaient déjà là. Mais ce n'est pas le seul point de divergences entre Offerus et Marchais, quand le premier parle de "buter la vermine criminelle", où s'arrête le crime? Il ne me semble pas que ça figure dans le programme du PCF du second.
Oui enfin la vermine criminelle dont il parle c'est des gangs organisés meurtriers qui s'attaquent à tout le monde (les riches, les pauvres, les flics...) sans discrimination c'est un autre sujet que l'immigration.
Par ailleurs le PCF n'est jamais revenu sur le meurtre du bourgeois par exemple, et parle encore, comme Marchais à l'époque du "bilan positif de l'URSS".
Pis pour ce qui est de Bolsonaro il n'est pas national socialiste, il serait plutôt national libéral. C'est la version samba de Henri de Lesquen en quelques sortes
Ok je visualise Lesquen avec des plumes dans l'cul...
Je ne dis pas que Bolsonaro est national-socialiste. C'est justement parce qu'Offerus lui reproche d'être trop libéral et pas assez social.
Le truc concernant les exécutions c'est de voir où est la limite de la criminalité definie par Bolsonaro. Regarde chez Duterte, avec lui, que tu sois gang, dealer ou consommateur, c'est execution sommaire.
Bah la réaction d'Offerus est la seule qu'on peut avoir quand on est de droite, réellement de droite. C'est à dire qu'on aurait été du camp des conservateurs dans la droite lignée légitimiste il y a quelques décennies, et qu'on est aujourd'hui nécessairement réactionnaire. Je ne vois pas ce qu'il y a de choquant à être conservateur donc antilibéral ni en quoi c'est une attitude nazie.
Et pour ce qui est d'éradiquer la vermine, j'interprète peut-être mal mais je pense que cette expression n'est pas de la part d'Offerus (pour Bolsonaro c'est plus flou) une invitation à tuer arbitrairement et à la pelle sur le modèle Pinochet, mais juste à affronter aussi fermement qu'il le faut, quitte à engendrer des morts, la criminalité. Je crois, je me trompe peut-être
Je suis d'accord sur le fait que la droite défend plutôt une vision traditionnelle de la société. Mais le libéralisme est également défendu par la droite, la droite française du moins. Le socialisme lui est clairement ancré à gauche.
C'est à dire qu'une partie de la droite a migré dans la direction du libéralisme, mais ça n'est pas la "vraie" droite, puisqu'elle n'est plus ou plus réellement conservatrice
Difficile de croire que tu ne connais pas la différence entre travailleur "immigré" et "clandestin".
Tu le fais donc exprès, ton propos est mauvais.
"Quant aux patrons et au gouvernement français, ils recourent à l'immigration massive, comme on pratiquait autrefois la traite des Noirs, pour se procurer une main-d'œuvre d'esclaves modernes, surexploitée et sous-payée. Cette main d'œuvre leur permet de réaliser des profits plus gros et d'exercer une pression plus forte sur les salaires, les conditions de travail et de vie, les droits de l'ensemble des travailleurs de France, immigrés ou non. Cette politique est contraire tant aux intérêts des travailleurs immigrés et de la plupart de leurs nations d'origine qu'aux intérêts des travailleurs français et de la France. Dans la crise actuelle, elle constitue pour les patrons et le gouvernement un moyen d'aggraver le chômage, les bas salaires, les mauvaises conditions de travail, la répression contre tous les travailleurs, aussi bien immigrés que français. C'est pourquoi nous disons : il faut arrêter l'immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage."
Sinon, c'est moi ou ce texte ferait passer tes ennemis fascistes pour des communistes doublés d'humanistes ? Ou alors Georges Marchais pour la réincarnation du Führer ?
PS : épargne nous une énième réduction ad-Hitlerum, essaie de répondre honnêtement et surtout, pas à côté de la plaque.
Les qques personnes qui liront cet échange comprendront bien assez vite.
C'est marrant parce que, quand on te lit, en fait on a pas besoin d'argumenter pour te donner tord, tu le fais tout seul, c'est génial. Et alors pas la peine d'essayer de te faire entendre raison ou de te mettre face à tes paradoxes !
En somme discuter avec toi c'est comme regarder un gentil ptit chien tourner en rond pour se bouffer la queue.
Bah pourquoi s'en priver ? les francs-maçons autant que les PD, y'en a d’extrême droite , d’extrême gauche comme d'apolitiques; faut être populiste jusqu'au bout !
Si ce n'est que la grille de lecture que tu utilises est propre aux divers pays de la "vieille" Europe, alors que le Brésil est une jeune nation faite d'un mélange de cultures complètement différentes (essentiellement en provenance d'Allemagne, de Hollande, du Portugal, du Japon et d'Italie. Et ce sans compter les populations natives). Quand tu as une population aussi hétéroclite et hétérogène, il est difficile de vendre un truc qui s'acoquine de près ou de loin avec le rejet du multiculturalisme, la défense de l'identité du brésilien "de souche" et de son enracinement millénaire (alors que l'indépendance date de 1822, soit une nation qui n'a même pas 200 ans). Du coup, il reste quoi pour le nouveau champion des présidentielles brésiliennes ? La sécurité ? Au Brésil, le candidat qui ne met pas cette proposition dans son programme sera considéré au mieux comme un illuminé, surtout quand on sait qu'un truc comme l'affaire Théo, là-bas, c'est même plus de l'ordre de la routine, c'est la procédure. L'emploi ? Avec 10% population qui se partage près de 55% des revenus nationaux, difficile de voir émerger une classe moyenne capable de contrebalancer des acquis économiques mal répartis et qu'on veut préserver comme tels. Surtout quand ces fortunes sont amassées par des propriétaires terriens qui te feraient passer un agriculteur européen pour un prolo qui cultive son potager, le dimanche et les jours chaumés. Dès lors, on ne se bat pas pour des acquis sociaux mais pour de l'emploi. Le taux de natalité national en chute libre qui mettrait en danger la souveraineté du pays et la disparition de son peuple tant aimé ? Au Brésil, si à 16 piges, tu es jeune et jolie, et que malgré ça, t'as toujours pas de gosses, t'as raté ta vie ! Note aussi que c'est un pays massivement croyant et qui s’accommode avec la rigidité des dogmes chrétiens. Niquer avant le mariage ? ... le climat est chaud, t'as des culs qui se dandinent partout, puis quand t'es pauvre, baiser, c'est récréatif et ça ne coûte rien. Avorter ? Hors de question. Dieu ne le pardonnerait jamais ! Raison pour laquelle on a une plâtrée de jeunes mères célibataires encore mineures au moment des faits. Puis du coup, avec une foi qui s'apparente plus à de la superstition qu'à une croyance intériorisée et profonde, ça fait une population assez crédule pour voter en contre réaction de ce qui a précédé, soit une gauche largement corrompue et sous les verrous. Quelques photos avec le vicaire du coin, sa bénédiction en plus, et on obtient une hausse dans les sondages. En définitive, pour le brésilien lambda, une politique "d’extrême droite" est plus fortement marquée par l'historicité qui lui est propre, soit le retour à un régime dictatorial comme celui de 1964 et qui sécurisera les acquis des plus riches pour mieux cantonner les moins riches à la place qui est la leur et définit par le gouvernement. Pas d'homogénéité culturelle, pas de rejet d'un multiculturalisme qui fait intrinsèquement partie de son ADN, mais juste un régime fort susceptible de régler des affaires internes par la répression.
Je suis d'accord avec toi. En particulier sur le rejet du multiculturalisme au Brésil et dans les Amériques en général, continent qui s'est construit sur le multiculturalisme.
J'ai l'impression d'avoir mal rédigé mon com, puisque tout le monde le comprend de travers.
Du tout. Mais tu qualifies la posture de Jair Bolsonaro aux élections comme celle d'un épicier, ratissant large pour les remporter. Et je souligne juste que ceci ne peut se formuler que si tu utilises une grille de lecture formée à partir de préoccupations nationalistes propre aux pays européens. Et le Brésil, même à travers des revendications nationalistes qu'il a déjà formulées et appliquées dans le passé, ne peut reproduire l'exacte réplique des préoccupations de la plupart des pays européens puisque les réalités existentielles, la définition de l'identité nationale, la composition démographique de sa nation, l’imprégnation religieuse ou le rapport à la communauté LGBT +, sont complètement différents. Un peu comme un Jean-Marie Le Pen qui cesse de parler de "péril bolchevique" après la chute du bloc communiste, puisque le communisme n'a plus réellement de prise sur la réalité. Il s'adapte à un contexte qui renvoi à des réalités précises, selon lui. Cependant, je ne pense pas que ses opinions sur le communisme aient radicalement changé pour autant.
"le communisme n'a plus réellement de prise sur la réalité."
Le communisme dans sa forme primaire oui, ses idées sont cependant plus que d'actualités en France, on appelle juste ça le socialisme (de gauche disons).
Les mêmes histoires se répètent depuis le début de l'humanité.
Bon commentaire.
Personnellement, je vois Bolsonaro comme une sorte de Pinochet light.
Le mec va coller des Chicago Boys nouvelle génération à l'économie et l'industrie tandis qu'au niveau sociétal, ça sera conservateur tradi.
La finance mondiale que dénonce Offerus n'a de toute manière qu'une prise limitée là bas, tant le pays est gorgé de taxes et tarifs douaniers prohibitifs dont seule la Chine bénéficie de quelques exemptions.
L'élection de Bolsonaro est plus important au niveau géopolitique. C'est le poids lourd de l'Amérique Latine qui s'aligne sur les USA. Les BRICS, c'est mort, même s'il faudra du temps au Brésil de se dépêtrer de l'influence chinoise.
Je verrais bien certain d'entre vous vivre dans une favela, sous le joug de caïds pas franchement en faveur de la démocratie locale, avec un horizon bouché. Si tu as la chance de voter pour celui qui ne fera pas comme tous les autres, sachant que la forêt périt avec ou sans accord, tu votes Bolsorano, fasciste ou pas.
Le problème du Brésil est la portée de l'autorité étatique qui s'arrête déjà à la frontière de quartiers. Dans la forêt, l'état de droit n'est plus qu'un signal faible. Le Brésil est un grand pays, peuplé. Quand on a ce problème en N°1, on le traite. On pense écologie et droits civiques plus tard.
Zgru La voix de son ver
Ordem e Regresso
titouille
Offerus Ne pas prendre au sérieux
Parce qu'en fait, je m'en fous un peu qu'un mec lance quelques phrases chocs contre l'immigration ou pour la sécurité. Ce qui m'importe vraiment, c'est que le gars aime vraiment son peuple et cherche à le préserver. Ca commence par mettre au pas les banquiers, saisir les ultras-riches qui ne veulent pas mettre la main à la patte, favoriser le ré-enracinement, la dignité des humbles, la préservation de sa terre et de son patrimoine. Ma différence avec les rouges, c'est que pour moi, ce programme politique doit s'accompagner du rejet du multiculturalisme, d'une quête esthétique et spirituelle et d'une promotion de l'ordre et de la discipline. Or, chez Bolsonaro, je ne sens rien de tout ça. Il semble qu'il soit parti pour appliquer un programme de banquier, se contentant de buter la vermine criminelle (ce dont je le félicite). Il drague autant les patriotes que les sionistes, les francs-macs et les LGBTQPR+++, bref il mène une politique d'épicier et il faut vraiment être borné comme un gauche pour limiter son analyse à quelques saillies.
"Les principaux chantres de la réaction peuvent bien invoquer le Christ en permanence, leur seul saint patron est le monde des affaires. Les valeurs peuvent bien passer "avant tout" pour les électeurs, ils se mettent toujours au service de l'argent une fois qu'ils l'ont emporté. C'est d'ailleurs là une des marques distinctives du phénomène qui fut d'une absolue régularité au cours des précédentes décennies. L'avortement n'est jamais interdit. La discrimination positive n'est jamais abolie. L'industrie culturelle n'est jamais tenue de faire le ménage chez elle.
Ce fait intrigue tout particulièrement les observateurs. Et l'on s'attendrait à ce qu'il soit de même pour les vrais fidèles de la réaction. Leurs tribuns grandiloquents ne passent jamais à l'acte. Leur colère s'exaspère mais ils réélisent pourtant tous les deux ans leur héros de droite pour la deuxième, la troisième ou la vingtième fois. Le truc n'est jamais éventé et l'illusion jamais dissipée. Votez pour interdire l'avortement et vous aurez une bonne réduction de l'impôt sur le capital. Votez pour faire la nique à ces universitaires politiquement corrects et vous aurez la déréglementation de l'électricité. Votez pour résister au terrorisme et vous aurez la privatisation de la Sécurité sociale. Votez pour mettre une bonne taloche à l'élitisme et vous aurez un ordre social au sein duquel les riches sont plus riches qu'ils ne l'ont jamais été, les travailleurs dépourvus de tout pouvoir et les PDG rémunérés au-delà de tout imagination". Thomas Franck.
Spardhas En réponse à Offerus Asticot
Zgru En réponse à Spardhas La voix de son ver
Offerus En réponse à Zgru Ne pas prendre au sérieux
Zgru En réponse à Offerus La voix de son ver
En somme, un national-socialisme de la grande époque.
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
Zgru En réponse à Zbouboss La voix de son ver
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
Zgru En réponse à Zbouboss La voix de son ver
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
ça veut dire que tu n'as rien à voir avec un chasseur de nazi, et que traiter de nazi à tout va c'est juste ridicule, et ça n'est même plus (ou plus trop) dans le vent
Zgru En réponse à Zbouboss La voix de son ver
wizzz En réponse à Zgru Jeune asticot
Kim-Jong-un En réponse à Zgru Vermisseau
Zgru En réponse à Kim-Jong-un La voix de son ver
Qu'ils soient de souche, de papiers, clandestins ou non déclarés.
feyfey En réponse à Zgru Lombrique girafe cougar chienne poule y dort
Zgru En réponse à feyfey La voix de son ver
Et je ne vois pas très bien où tonton Georges légitimait le meurtre pour les délinquants et les criminel.
Donc non, ce n'est clairement pas le programme de Marchais.
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
encore raté
Zgru En réponse à Zbouboss La voix de son ver
http://uncoupde...ais-au.html?m=1
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
Il y a deux degrés dans ce qu'il dit : au niveau international, tous les travailleurs de tous pays doivent avoir les même droit, c'est l'idéal communiste. Au niveau national, et tant que l'idéal communiste n'a pas été réalisé, chaque section doit préserver ses travailleurs et il faut s'opposer à l'immigration qui met en péril les droits des nationaux.
Il s'exprime bien en faveur d'une "préférence nationale.
Par ailleurs il y a beaucoup de mauvaise foi dans cette lettre, notamment sur la position du PCF qui respecterait l'islam (la seule chose vraie c'est qu'il n'y a pas de discrimination entre religions dans le communisme puisque toutes sont à détruire) ou encore sur les prises de position face au colonialisme.
Zgru En réponse à Zbouboss La voix de son ver
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
Zgru En réponse à Zbouboss La voix de son ver
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
Par ailleurs le PCF n'est jamais revenu sur le meurtre du bourgeois par exemple, et parle encore, comme Marchais à l'époque du "bilan positif de l'URSS".
Pis pour ce qui est de Bolsonaro il n'est pas national socialiste, il serait plutôt national libéral. C'est la version samba de Henri de Lesquen en quelques sortes
Zgru En réponse à Zbouboss La voix de son ver
Je ne dis pas que Bolsonaro est national-socialiste. C'est justement parce qu'Offerus lui reproche d'être trop libéral et pas assez social.
Le truc concernant les exécutions c'est de voir où est la limite de la criminalité definie par Bolsonaro. Regarde chez Duterte, avec lui, que tu sois gang, dealer ou consommateur, c'est execution sommaire.
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
Et pour ce qui est d'éradiquer la vermine, j'interprète peut-être mal mais je pense que cette expression n'est pas de la part d'Offerus (pour Bolsonaro c'est plus flou) une invitation à tuer arbitrairement et à la pelle sur le modèle Pinochet, mais juste à affronter aussi fermement qu'il le faut, quitte à engendrer des morts, la criminalité. Je crois, je me trompe peut-être
Zgru En réponse à Zbouboss La voix de son ver
Zbouboss En réponse à Zgru Vermisseau
magnussoren En réponse à Zgru Ver (re-)cyclable
Zgru En réponse à magnussoren La voix de son ver
JeanEude En réponse à Zgru Vermisseau
Difficile de croire que tu ne connais pas la différence entre travailleur "immigré" et "clandestin".
Tu le fais donc exprès, ton propos est mauvais.
"Quant aux patrons et au gouvernement français, ils recourent à l'immigration massive, comme on pratiquait autrefois la traite des Noirs, pour se procurer une main-d'œuvre d'esclaves modernes, surexploitée et sous-payée. Cette main d'œuvre leur permet de réaliser des profits plus gros et d'exercer une pression plus forte sur les salaires, les conditions de travail et de vie, les droits de l'ensemble des travailleurs de France, immigrés ou non. Cette politique est contraire tant aux intérêts des travailleurs immigrés et de la plupart de leurs nations d'origine qu'aux intérêts des travailleurs français et de la France. Dans la crise actuelle, elle constitue pour les patrons et le gouvernement un moyen d'aggraver le chômage, les bas salaires, les mauvaises conditions de travail, la répression contre tous les travailleurs, aussi bien immigrés que français. C'est pourquoi nous disons : il faut arrêter l'immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage."
Sinon, c'est moi ou ce texte ferait passer tes ennemis fascistes pour des communistes doublés d'humanistes ? Ou alors Georges Marchais pour la réincarnation du Führer ?
PS : épargne nous une énième réduction ad-Hitlerum, essaie de répondre honnêtement et surtout, pas à côté de la plaque.
Zgru En réponse à JeanEude La voix de son ver
JeanEude En réponse à Zgru Vermisseau
Zgru En réponse à JeanEude La voix de son ver
JeanEude En réponse à Zgru Vermisseau
Les qques personnes qui liront cet échange comprendront bien assez vite.
C'est marrant parce que, quand on te lit, en fait on a pas besoin d'argumenter pour te donner tord, tu le fais tout seul, c'est génial. Et alors pas la peine d'essayer de te faire entendre raison ou de te mettre face à tes paradoxes !
En somme discuter avec toi c'est comme regarder un gentil ptit chien tourner en rond pour se bouffer la queue.
Il s'arrêtera quand il en aura marre quoi ^^
Zgru En réponse à JeanEude La voix de son ver
Magret En réponse à Offerus Vermisseau
Thiche En réponse à Offerus Colonel Chat-Ver
Offerus En réponse à Thiche Ne pas prendre au sérieux
J'ai l'impression d'avoir mal rédigé mon com, puisque tout le monde le comprend de travers.
Zgru En réponse à Offerus La voix de son ver
Thiche En réponse à Offerus Colonel Chat-Ver
xzat En réponse à Thiche Jeune lombric
Le communisme dans sa forme primaire oui, ses idées sont cependant plus que d'actualités en France, on appelle juste ça le socialisme (de gauche disons).
Les mêmes histoires se répètent depuis le début de l'humanité.
Zgru En réponse à xzat La voix de son ver
TheMetroidPrime En réponse à Thiche Verxit
Personnellement, je vois Bolsonaro comme une sorte de Pinochet light.
Le mec va coller des Chicago Boys nouvelle génération à l'économie et l'industrie tandis qu'au niveau sociétal, ça sera conservateur tradi.
La finance mondiale que dénonce Offerus n'a de toute manière qu'une prise limitée là bas, tant le pays est gorgé de taxes et tarifs douaniers prohibitifs dont seule la Chine bénéficie de quelques exemptions.
L'élection de Bolsonaro est plus important au niveau géopolitique. C'est le poids lourd de l'Amérique Latine qui s'aligne sur les USA. Les BRICS, c'est mort, même s'il faudra du temps au Brésil de se dépêtrer de l'influence chinoise.
pYranha En réponse à Offerus Lombreek
Je doute pas de ses bonnes intentions, mais l'enfer en est paraît-il pavé...
popi Vermisseau
Ah merde !! bin non du coup :(
pclt Lombric Shaolin
Le problème du Brésil est la portée de l'autorité étatique qui s'arrête déjà à la frontière de quartiers. Dans la forêt, l'état de droit n'est plus qu'un signal faible. Le Brésil est un grand pays, peuplé. Quand on a ce problème en N°1, on le traite. On pense écologie et droits civiques plus tard.
Benestcon Asticot
Jean-Rachid Vermisseau
fwan6 En réponse à Jean-Rachid cabwL
Jean-Rachid En réponse à fwan6 Vermisseau
fwan6 En réponse à Jean-Rachid cabwL
JeanEude Vermisseau
MonVeloooo Vermisseau
AchkaeL Vermisseau