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C'est un non-binaire.
J'ai un peu cherché (mal peut-être ?) mais je fus fort surpris de ne pas avoir trouvé ce bout d'imbinarité par ici !
Au cas ou, je répare de ce pas cette erreur colossale par une version ultra épurée.
Un génie naturel, c'est encore plus rare, il ne s'arrête pas aux classiques, il va plus loin que le débile moyen avec un naturel total, c'est LE bijou de la bijouterie, il est merveilleux, une performance qu'il faut savoir apprécier.
- Vous n'êtes pas blanc ?
- Ha non, je suis à moitié libanais...
Difficile de donner un avis sur 17 secondes d'émission. Cette réplique ne m'encourage pas à penser que ce type ait mieux à dire. Après, tout le reste des courts propos, qui a produit les commentaires pourris qu'on peu lire au dessus, est avec ce seul extrait, révélateur que certains ne sont pas encore sortis de la caverne de l'intolérance.
qu'il ait mieux à dire ou pas on s'en branle.
r'as le lien vers l'emission complète dans la desciption youtube
la haine qui anime tant de gens est triste. Parfois de quoi perdre foi en l'être humain
en tout cas, je remercie cet homme de m'avoir fait rire, putain, ca fait plus d'une semaine qu'il éclaire mes journées.
+par son "buzz" il a probablement énormément suscité un débat public qui lui tenait à coeur.
un génie.
"l’intolérance" ?
Je pense être quelqu'un de tolérant, pourtant d'après ce court extrait, tout me laisse à penser que ce monsieur a en effet mieux à dire.
Ce problème sociétal de l'auto-détermination du genre ou de l'identité sans aucun référentiel n'est autre qu'une crise adolescente existentielle tardive nourrie d'un narcissisme égocentrique propre à la culture des réseaux sociaux. Ce courant de pensée provenant des États-Unis qui revendique l'imposition de sa liberté individuelle sous toutes ses formes, tous ses axes et partout comme un droit fondamental est toxique. Il va à l'encontre de la cohabitation en bonne intelligence des membres d'une société et empiète sur la liberté individuelle d'autrui car il remet en question des valeurs établies.
Libre à quiconque de choisir son identité. Femme ou homme et il est question de ta sexualité. Humain ou loup-garou et il est question de ta sanité. C'est imposer ce ou ces choix sous la forme de modification de valeur ou de style de vie qui pose problème. Libre à quiconque de se prendre pour Napoléon avec un bicorne et une main glissée dans la chemise, simplement personne ne me forcera à l'appeler empereur car ceci relève de ma liberté et de mes valeurs. Je n'insulte pas la personne en ne la considérant pas comme Napoléon tout comme je ne me sens pas insulté lorsque cette personne ne partage pas mes valeurs et agit comme étant Napoléon. On a ici 2 visions différentes, on fait alors des concessions afin de vivre en bonne intelligence.
Je vis au Canada depuis 10 mois, c'est un courant de pensée qui a déjà fait son bout de chemin ici et inonde les universités. Pas de doute sur le fait que ça arrive en Europe. Brace yourselves.
Mais oui, il n'y a guère que les intellectuels universitaires pour nous faire gober de pareilles sornettes. C'est leur métier de créer des concepts creux.
Il y a ce courant et son contraire au Canada, j'entend par la Jordan Peterson. D'ailleurs je trouve que le fait que le debat le plus incisif des derniers temps ici est celui autour de Lindsay Shepherd ne rend pas service au Canada.
Apres a mon avis le principal probleme n'est pas que les universite integrent des cursus de gender studies (ce qui reste un cas d'etude tres interessant), mais plutot que ces cursus ne semblent pas integrer les methodologies scientifiques, et sont plutot la pour se monter le chou entre "opprime" la ou tu ordonnes les participants par nombre d'oppressions qu'ils declarent subir.
Du coup au lieu d'une methodologie serieuse implicant entre autres peer-reviews, on se retrouve avec des gens qui imposent leur point de vue a base de "je suis + opprime que toi j'ai donc raison sur toi". Que faire alors quand t'es un homme blanc avec 1 seul point d'oppression (gay) comme lui ? declarer que tu en as d'autres par simple auto-reconnaissance: je m'identifie donc je suis.
Tu te retrouves alors avec des contradicitons qui emmerdent bien les SJW, comme le cas Rachel Dolezal. C'est une femme blanche qui s'identifie comme noire. Si tu la rejettes tu l'oppresses, si tu l'acceptes tu peux quasiment refuter la cultural appropriation, qui est encore un autre debat a la mord moi le noeud.
Je suis au Canada depuis 6 mois (Par curioisite tu es ou? Je suis a Vancouver), et en France je trouvais deja les vegans extremistes, mais je les trouve + serieux et coherents en comparaison. D'ailleurs ils forment un groupe a part meme si on aurait pu les mettre dans la meme categorie a priori, et je pense que cest parce qu'ils ne rejettent pas l'organisation de pensee existente, ils la poussent juste a l'extreme, et ils ne melangent aps tout: Ils ont un point de focus qui est la Nature, et ne semblent pas entasser les sujets de combat.
Un petit grassouillet chauve, barbu et blanc comme un cul qui prend l'air outré qu'on parte du principe qu'il est un homme blanc et demande des comptes d'un air de pucelle qui vient de s'assoir sur un plug anal... ou bien c'est un troll, ou bien c'est un con.
Ce n'est pas être intolérant envers son identité, c'est simplement une réaction face à son comportement.
Toujours a déverser ta connerie sous de beaux sentiments, toi l'homme moderne tolérant et bien-pensant.
Ma main à couper que, comme tous ceux qui parlent de -tolérance- tu n'as comme entourage que des gens qui pensent exactement comme toi et que ceux pensent le contraire "vivent dans une grotte". As-C'est tolérant mais ça crache à la moindre occasion sur ceux qui ne pensent pas comme eux, un ridicule suffisant remarque.
Oui, Jordan Peterson est un intellectuel canadien qui s'exprime contre certains de ces sujets. Il a d'ailleurs participé à un débat récemment avec Stephen Fry, un géant anglais vachement bien. Comme partout, certaines personnes vont s'insurger contre des travers de la société.
Ce qu'il faut surtout dire concernant le Canada et le Québec en particulier, c'est que l'environnement est différent. Tout d'abord la frontière avec les USA est extrêmement poreuse en ce qui concerne la culture et l'économie, du coup toute la merde vient jusqu'ici : SJW, PC, viande aux hormones, crack, mafia. De plus la société est très différente, puisqu'elle est fondée non pas autour d'une patriarchie mais l'opposée : ici les femmes dirigent. Du coup tu n'as pas tant de femmes opprimées qui hurlent les seins à l'air. Ici les femmes hurlent principalement en développé-couché. J'ai un québecois qui m'a annoncé aimer danser la salsa car cela lui donne l'opportunité de diriger en tant qu'homme. VENEZ SAUVER NOS FRERES, INSURGEONS-NOUS LA BITE A L'AIR.
Je ne parlais pas des gender studies dans les universités. En réalité, je ne parlais même pas de cours dédié à bourrer le crâne de nos petites têtes blondes à chemise à carreaux. Les étudiants que j'ai côtoyé, car ils étaient mes colocs, avaient des idées très arrêtées sur plusieurs sujets tels "si tu dis gros ou pd t'es un monstre" ou "le racisme est socialement construit, tout comme cet arbre et ce poney". Ils trainaient avec moult étudiants de tous pays qui sont apparemment les nouveaux punks : on se rebelle contre la société qui nous opprime avec un anneau dans le nez en bouffant du hummus. Le discours est construit mais uniforme, il n'est pas issu d'une réflexion mais d'une démonstration, du coup il peut être un cours ou simplement une propagande partagée entre les étudiants, comme une culture.
Il y a beaucoup de vegan / végétaliens ici. Grand bien leur en fasse. Du moment qu'on vient pas m'expliquer que l'espèce humaine n'est pas omnivore et que l'enseignement scientifique est un complot monté de toute pièce par le lobby du bœuf, ils peuvent bouffer des radis.
UnConGnito Lombric Shaolin
Triskel En réponse à UnConGnito Vermisseau
cet être vivant est un génie
xzat En réponse à Triskel Jeune lombric
Zap En réponse à UnConGnito Vermisseau
Bellus
GnouBoo Lombric Shaolin
gloupi Lombric Shaolin
Triskel En réponse à gloupi Vermisseau
Oblivionis Taret
" Mais qui vous a dit que je suis un monsieur ? "
Popaul Jeune lombric
Zoubdi En réponse à Popaul Vermisseau
Procrastinateur En réponse à Zoubdi Vermisseau
Creugneugleu Vermisseau
Graouh Asticot
Zoubdi Vermisseau
- Ha non, je suis à moitié libanais...
Difficile de donner un avis sur 17 secondes d'émission. Cette réplique ne m'encourage pas à penser que ce type ait mieux à dire. Après, tout le reste des courts propos, qui a produit les commentaires pourris qu'on peu lire au dessus, est avec ce seul extrait, révélateur que certains ne sont pas encore sortis de la caverne de l'intolérance.
Triskel En réponse à Zoubdi Vermisseau
r'as le lien vers l'emission complète dans la desciption youtube
la haine qui anime tant de gens est triste. Parfois de quoi perdre foi en l'être humain
en tout cas, je remercie cet homme de m'avoir fait rire, putain, ca fait plus d'une semaine qu'il éclaire mes journées.
+par son "buzz" il a probablement énormément suscité un débat public qui lui tenait à coeur.
un génie.
Rodrigo En réponse à Zoubdi Jeune asticot
Je pense être quelqu'un de tolérant, pourtant d'après ce court extrait, tout me laisse à penser que ce monsieur a en effet mieux à dire.
Ce problème sociétal de l'auto-détermination du genre ou de l'identité sans aucun référentiel n'est autre qu'une crise adolescente existentielle tardive nourrie d'un narcissisme égocentrique propre à la culture des réseaux sociaux. Ce courant de pensée provenant des États-Unis qui revendique l'imposition de sa liberté individuelle sous toutes ses formes, tous ses axes et partout comme un droit fondamental est toxique. Il va à l'encontre de la cohabitation en bonne intelligence des membres d'une société et empiète sur la liberté individuelle d'autrui car il remet en question des valeurs établies.
Libre à quiconque de choisir son identité. Femme ou homme et il est question de ta sexualité. Humain ou loup-garou et il est question de ta sanité. C'est imposer ce ou ces choix sous la forme de modification de valeur ou de style de vie qui pose problème. Libre à quiconque de se prendre pour Napoléon avec un bicorne et une main glissée dans la chemise, simplement personne ne me forcera à l'appeler empereur car ceci relève de ma liberté et de mes valeurs. Je n'insulte pas la personne en ne la considérant pas comme Napoléon tout comme je ne me sens pas insulté lorsque cette personne ne partage pas mes valeurs et agit comme étant Napoléon. On a ici 2 visions différentes, on fait alors des concessions afin de vivre en bonne intelligence.
Je vis au Canada depuis 10 mois, c'est un courant de pensée qui a déjà fait son bout de chemin ici et inonde les universités. Pas de doute sur le fait que ça arrive en Europe. Brace yourselves.
Sandeck En réponse à Rodrigo Vermisseau
Athran_Zara En réponse à Rodrigo Jeune asticot
Apres a mon avis le principal probleme n'est pas que les universite integrent des cursus de gender studies (ce qui reste un cas d'etude tres interessant), mais plutot que ces cursus ne semblent pas integrer les methodologies scientifiques, et sont plutot la pour se monter le chou entre "opprime" la ou tu ordonnes les participants par nombre d'oppressions qu'ils declarent subir.
Du coup au lieu d'une methodologie serieuse implicant entre autres peer-reviews, on se retrouve avec des gens qui imposent leur point de vue a base de "je suis + opprime que toi j'ai donc raison sur toi". Que faire alors quand t'es un homme blanc avec 1 seul point d'oppression (gay) comme lui ? declarer que tu en as d'autres par simple auto-reconnaissance: je m'identifie donc je suis.
Tu te retrouves alors avec des contradicitons qui emmerdent bien les SJW, comme le cas Rachel Dolezal. C'est une femme blanche qui s'identifie comme noire. Si tu la rejettes tu l'oppresses, si tu l'acceptes tu peux quasiment refuter la cultural appropriation, qui est encore un autre debat a la mord moi le noeud.
Je suis au Canada depuis 6 mois (Par curioisite tu es ou? Je suis a Vancouver), et en France je trouvais deja les vegans extremistes, mais je les trouve + serieux et coherents en comparaison. D'ailleurs ils forment un groupe a part meme si on aurait pu les mettre dans la meme categorie a priori, et je pense que cest parce qu'ils ne rejettent pas l'organisation de pensee existente, ils la poussent juste a l'extreme, et ils ne melangent aps tout: Ils ont un point de focus qui est la Nature, et ne semblent pas entasser les sujets de combat.
Ezellar En réponse à Rodrigo Lombric Shaolin
Zoubdi En réponse à Rodrigo Vermisseau
Rodrigo En réponse à Zoubdi Jeune asticot
Un petit grassouillet chauve, barbu et blanc comme un cul qui prend l'air outré qu'on parte du principe qu'il est un homme blanc et demande des comptes d'un air de pucelle qui vient de s'assoir sur un plug anal... ou bien c'est un troll, ou bien c'est un con.
Ce n'est pas être intolérant envers son identité, c'est simplement une réaction face à son comportement.
xzat En réponse à Zoubdi Jeune lombric
Ma main à couper que, comme tous ceux qui parlent de -tolérance- tu n'as comme entourage que des gens qui pensent exactement comme toi et que ceux pensent le contraire "vivent dans une grotte". As-C'est tolérant mais ça crache à la moindre occasion sur ceux qui ne pensent pas comme eux, un ridicule suffisant remarque.
Zoubdi En réponse à xzat Vermisseau
Ezellar Lombric Shaolin
34good En réponse à Ezellar Vermisseau
Ezellar En réponse à 34good Lombric Shaolin
34good Vermisseau
jose_cahuette Vermisseau
Enfin j'espère pour lui que c'est du troll sinon il va passer pour le plus gros abrutit de l'année !
Rodrigo Jeune asticot
Oui, Jordan Peterson est un intellectuel canadien qui s'exprime contre certains de ces sujets. Il a d'ailleurs participé à un débat récemment avec Stephen Fry, un géant anglais vachement bien. Comme partout, certaines personnes vont s'insurger contre des travers de la société.
Ce qu'il faut surtout dire concernant le Canada et le Québec en particulier, c'est que l'environnement est différent. Tout d'abord la frontière avec les USA est extrêmement poreuse en ce qui concerne la culture et l'économie, du coup toute la merde vient jusqu'ici : SJW, PC, viande aux hormones, crack, mafia. De plus la société est très différente, puisqu'elle est fondée non pas autour d'une patriarchie mais l'opposée : ici les femmes dirigent. Du coup tu n'as pas tant de femmes opprimées qui hurlent les seins à l'air. Ici les femmes hurlent principalement en développé-couché. J'ai un québecois qui m'a annoncé aimer danser la salsa car cela lui donne l'opportunité de diriger en tant qu'homme. VENEZ SAUVER NOS FRERES, INSURGEONS-NOUS LA BITE A L'AIR.
Je ne parlais pas des gender studies dans les universités. En réalité, je ne parlais même pas de cours dédié à bourrer le crâne de nos petites têtes blondes à chemise à carreaux. Les étudiants que j'ai côtoyé, car ils étaient mes colocs, avaient des idées très arrêtées sur plusieurs sujets tels "si tu dis gros ou pd t'es un monstre" ou "le racisme est socialement construit, tout comme cet arbre et ce poney". Ils trainaient avec moult étudiants de tous pays qui sont apparemment les nouveaux punks : on se rebelle contre la société qui nous opprime avec un anneau dans le nez en bouffant du hummus. Le discours est construit mais uniforme, il n'est pas issu d'une réflexion mais d'une démonstration, du coup il peut être un cours ou simplement une propagande partagée entre les étudiants, comme une culture.
Il y a beaucoup de vegan / végétaliens ici. Grand bien leur en fasse. Du moment qu'on vient pas m'expliquer que l'espèce humaine n'est pas omnivore et que l'enseignement scientifique est un complot monté de toute pièce par le lobby du bœuf, ils peuvent bouffer des radis.
Bellus
Zoubdi En réponse à Bellus Vermisseau
ptibowt Vermisseau
Rodrigo En réponse à ptibowt Jeune asticot