Quelle est alors pour toi l'alternative honnête et viable à l'université ?
Les prépas élitiste qui préparent à des écoles encore plus élitistes ? Tout le monde peut être patron alors ?
Les prépas intégrées où ton succès est proportionnel à ta capacité à payer ton diplôme ?
Les IUT ou DUT avec leur si prestigieuse réputation, conséquence de la hiérarchisation des études supérieures par les grandes écoles ?La fac, avec tous les problèmes de dogme et d'organisation qu'elle peut avoir, est la seule école qui peut te donner un bac+2, bac+3, bac+5 et bac+8 en occultant, tant bien que mal, ces soucis d'être plus patron que ton voisin.
Sinon, aujourd'hui j'ai découvert cet article (qui touche d'ailleurs à l'éducation, mais avant les études supérieures): http://www.chouyosworld.com/2015/01/14/ … -des-mots/
Bon, j'y suis allé un peu fort, j'avoue .
Je vois pas d'alternatives : juste, il faut changer le mode de financement des Universités (comme celui de beaucoup de services publics, système qui a été introduit par Sarko je crois).
Je suis pas d'accord sur les écoles privées. Il y en a des très biens, mais hélas, effectivement, c'est cher et tout le monde ne peut pas se le permettre.
Je critique cet état d'esprit de la Fac qui a évolué vers la conservation par tous les moyens du budget de l'année N-1. C'est devenu du gros n'importe quoi. Et il faut plus associé les entreprises avec la Fac. Il y a un manque évidemment d'expérience professionnel en entreprise dans les facs. Pour le reste, je suis d'accord.
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Aujourd'hui, ce mini débat me rappelle cette conférence gesticulée ( je crois que c'est Nono qui m'avait filé le lien d'ailleurs ) :
Inculture(s) 2 : L'éducation - Franck Lepage - Scop Le Pave - Conférence gesticulée
https://www.youtube.com/watch?v=ACxRSSkYR_k
Gone West across the sea
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Mwouip tout à fait, ça m'a aussi fait penser à cette conférence; surtout quand il commence à expliquer les 3 écoles de pensées sur l'école (lolmdr). Soit ceux qui pensent que l'école n'est pas faite pour éduquer, ceux qui pensent que l'école doit éduquer (dont celle qui a écrit l'article donc) et ceux qui pensent que l'école doit être directement liée aux entreprises.
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Aujourd'hui, je suis tout seul au bureau. C'est cool.
Et aujourd'hui, je trouve que le commentaire de notre président commence bien mal:
Les universités, bon... Elles ont fait leur temps, il faut le dire. C'est aujourd'hui un agglomérat de chercheurs qui ne doivent surtout pas trouver sinon ils risque de perdre leurs budgets.
Ah?! Donc, si tu as travaillé avec des universitaires comme tu le dis, il ne t'aura pas échappé que les permanents (minoritaires) ont des listes de publications longues comme le bras et que les non-permanents (majoritaires) doivent leur poste de non-permanents à leurs publications. Or, sans résultat, pas de publication. Donc, si tu ne trouves pas, tu n'as pas de publication.
Et si tu as travaillé avec des universitaires (et lu les publications qui vont avec), tu auras remarqué que les publications françaises sont souvent bien différentes des publications anglo-saxonnes car elles mettent ensemble plusieurs résultats en commun plutôt qu'un petit répété constamment. Pourtant, elles sont souvent majeures et ce indépendamment de la masse d'enseignement que tu peux avoir dans les universités françaises par rapport aux universités étrangères. Ceci est cependant de moins en moins vrai aujourd'hui, ce qui fait que les publications majeures peuvent avoir tendance à diminuer en France.
Si tu as travaillé avec des universitaires, tu auras aussi remarqué le problème rencontré dans l'enseignement. Beaucoup d'étudiants sont formés à crédit, c'est à dire que des enseignements de base ne sont plus dispensés faute de moyen (en particulier pour le pratique). Par ailleurs, des structures / départements ferment.
Enfin, si tu as travaillé avec des universitaires en venant du privé, tu auras remarqué que les universités françaises sont aussi tributaires du financement des études. Le public étant ce qu'il est, il se désengage. Le privé étant ce qu'il est, il ne veut pas publier pour faire marcher la concurrence.
Je suis d'accord que le fonctionnement financier, en particulier l'autonomie des universités, a tout bousillé. Si les gens ne se bougent pas, il n'y aura plus de recherche en France, donc plus d'éducation et encre moins d'économie. C'est exactement le même problème avec la culture et en particulier le régime des intermittents. Mais les gens préfèrent le café du commerce et sortir des phrases.
PS.: non Orme, je crois que c'est moi qui vous ai filé ce lien, une fois autours d'une discussion internet - je suis ce monsieur de très très près, et ce d'autant plus que c'est presque un voisin.
Dernière modification par Ced (17.01.2015 13:56:23)
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
'Soyez réaliste, demandez l'impossible' (Ernesto Guevara)
'Bien heureux les langues de p****.'(Jésus - Le Troisième Evangile selon St Emilion, verseZ 8.6)
Smile, you're on CCTV!
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Aujourd'hui, je suis tout seul au bureau. C'est cool.
Et aujourd'hui, je trouve que le commentaire de notre président commence bien mal:
Chaque_Jirac a écritLes universités, bon... Elles ont fait leur temps, il faut le dire. C'est aujourd'hui un agglomérat de chercheurs qui ne doivent surtout pas trouver sinon ils risque de perdre leurs budgets.
Ah?! Donc, si tu as travaillé avec des universitaires comme tu le dis, il ne t'aura pas échappé que les permanents (minoritaires) ont des listes de publications longues comme le bras et que les non-permanents (majoritaires) doivent leur poste de non-permanents à leurs publications. Or, sans résultat, pas de publication. Donc, si tu ne trouves pas, tu n'as pas de publication.
Et si tu as travaillé avec des universitaires (et lu les publications qui vont avec), tu auras remarqué que les publications françaises sont souvent bien différentes des publications anglo-saxonnes car elles mettent ensemble plusieurs résultats en commun plutôt qu'un petit répété constamment. Pourtant, elles sont souvent majeures et ce indépendamment de la masse d'enseignement que tu peux avoir dans les universités françaises par rapport aux universités étrangères. Ceci est cependant de moins en moins vrai aujourd'hui, ce qui fait que les publications majeures peuvent avoir tendance à diminuer en France.
Si tu as travaillé avec des universitaires, tu auras aussi remarqué le problème rencontré dans l'enseignement. Beaucoup d'étudiants sont formés à crédit, c'est à dire que des enseignements de base ne sont plus dispensés faute de moyen (en particulier pour le pratique). Par ailleurs, des structures / départements ferment.
Enfin, si tu as travaillé avec des universitaires en venant du privé, tu auras remarqué que les universités françaises sont aussi tributaires du financement des études. Le public étant ce qu'il est, il se désengage. Le privé étant ce qu'il est, il ne veut pas publier pour faire marcher la concurrence.
Je suis d'accord que le fonctionnement financier, en particulier l'autonomie des universités, a tout bousillé. Si les gens ne se bougent pas, il n'y aura plus de recherche en France, donc plus d'éducation et encre moins d'économie. C'est exactement le même problème avec la culture et en particulier le régime des intermittents. Mais les gens préfèrent le café du commerce et sortir des phrases.
PS.: non Orme, je crois que c'est moi qui vous ai filé ce lien, une fois autours d'une discussion internet - je suis ce monsieur de très très près, et ce d'autant plus que c'est presque un voisin.
Aujourd'hui, je réponds etc...
COmme je l'ai dit, j'y suis allé un peu fort . J'exagérais en disant "elles ont fait leur temps".
Je suis d'accord sur l'ensemble. Justement, je dis que le financement est problématique et a corrompu de nombreux directeurs de département, tributaire de la consommation annuelle qu'ils font de leur budget.
Ce que je reproche sur le fond aux universitaires, c'est un manque de pragmatisme et une arrogance, un mépris à l'égard du privé. C'est pas vrai dans toutes les branches, mais je prends un exemple : je bossais pour un centre de recherche public et j'étais dans une boite privée. Il fallait concevoir une nouvelle fonctionnalité. Et justement, j'avais travaillé 2 mois précédemment sur cette fonctionnalité dans une autre mission au sein du même centre. Cette fonctionnalité concernanit une application que j'avais développée et dont j'étais le principal ingénieur , et tout le monde en était satisfait. Les gens le savaient. Et bien, ce fut réunion sur réunion entre eux, pendant plusieurs mois, où rien ne sortait des réunions. De la réunionite aiguë, très peu de décisions, les quelques décisions étant souvent déconnectées de la réalité. A aucun moment, alors que j'étais dans le bureau juste à côté, une personne est venue me voir pour me demander mon avis. Pourtant, j'entendais leurs analyses, leurs questions dans le bureau à côté. Et je connaissais les solutions concrètes et performantes. Quand j'ai essayé de leur en parler, on m'a fait comprendre que c'était gentil de ma part, mais que les chercheurs, c'était eux. Ca m'a bien fait marrer. Ce que j'ai surtout vu, c'est qu'ils voulaient réinventer la roue et la rendre moins performante.
Et ce cas, je l'ai vu tellement de fois !
Je suis pas pour l'éducation liée à l'entreprise obligatoirement. Mais le manque de pragmatisme de beaucoup de chercheurs publics peut s'arranger en mettant de l'entreprise, de la "production", du concret dans les centres de recherche. Et non pas systématiquement l'inverse.
Dernière modification par Chaque_Jirac (17.01.2015 14:50:36)
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Il me semble que tu confonds deux choses, recherche fondamentale/recherche appliquée et recherche publique/recherche privée. Aucune ne s'oppose et aucune n'est meilleure que l'autre, elles sont simplement différentes.
La recherche fondamentale ne travaille pas sur des applications mais sur la connaissance des phénomènes (présents, passés, futurs) dans divers domaines d'application (sciences naturelles, sciences exactes, mathématiques, sciences de l'ingénieur, histoire, économie, géographie, sport, sociologie, langues, etc...). La recherche appliquée répond à certaines interrogations de bien commun en appliquant des techniques liées à la recherche fondamentale. Les deux s'appliquent à l'université. Elles ne sont nullement antagonistes. La deuxième a par contre fortement besoin de la première car la deuxième n'existerait pas sans elle.
La recherche publique n'a pas à répondre à l'entreprise mais elle se doit de faire avancer la connaissance et répondre à des besoins cruciaux au sein de l'université (ou institut). La recherche privée répond à des besoins d'une entreprise. Par définition, elles sont différentes car le domaine d'application et le but est différent. Mais aussi bien la recherche publique que la recherche privée peuvent être fondamentales et/ou appliquées.
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
'Soyez réaliste, demandez l'impossible' (Ernesto Guevara)
'Bien heureux les langues de p****.'(Jésus - Le Troisième Evangile selon St Emilion, verseZ 8.6)
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Il me semble que tu confonds deux choses, recherche fondamentale/recherche appliquée et recherche publique/recherche privée. Aucune ne s'oppose et aucune n'est meilleure que l'autre, elles sont simplement différentes.
La recherche fondamentale ne travaille pas sur des applications mais sur la connaissance des phénomènes (présents, passés, futurs) dans divers domaines d'application (sciences naturelles, sciences exactes, mathématiques, sciences de l'ingénieur, histoire, économie, géographie, sport, sociologie, langues, etc...). La recherche appliquée répond à certaines interrogations de bien commun en appliquant des techniques liées à la recherche fondamentale. Les deux s'appliquent à l'université. Elles ne sont nullement antagonistes. La deuxième a par contre fortement besoin de la première car la deuxième n'existerait pas sans elle.
La recherche publique n'a pas à répondre à l'entreprise mais elle se doit de faire avancer la connaissance et répondre à des besoins cruciaux au sein de l'université (ou institut). La recherche privée répond à des besoins d'une entreprise. Par définition, elles sont différentes car le domaine d'application et le but est différent. Mais aussi bien la recherche publique que la recherche privée peuvent être fondamentales et/ou appliquées.
Non non, je ne confonds pas. Tu penses qu'une entreprise privée ne fait de la recherche que pour le compte privé. Ce n'est pas le cas. Dans l'exemple que j'indique, mes donneurs d'ordre sont publics. Il s'agit de chercheurs en sciences appliquées. Le travail que je fournissais avait le même but que celui sur lequel eux cogitaient. Donc, les intérêts pour chacun étaient les mêmes : fournir une application performante et simple répondant aux besoins des utilisateurs. Et je peux te dire que là-dessus, il y a un fossé entre la recherche publique (qui ne s'intéresse pas forcément à l'utilisabilité et la valeur-ajoutée) et la production privée (qui essaie - hélas pas toujours - de concevoir un outil répondant aux besoins des utilisateurs en fonction du budget qui lui est alloué, et donc avec une obligation de résultat). Dans mon exemple, les ingés du privé conçoient et produisent alors que dans le public, ils essaient simplement de concevoir sans tenir compte de la réalité à laquelle la production se confronte. Attention : je ne généralise pas hein . Mais pour améliorer ça, il faudrait que la recherche publique produise (et je ne parle pas de publication mais de cas concrets ayant une valeur ajoutée et donc, se confrontant à la réalité de contraintes fortes : l'utilisabilité, la simplicité, le coût, la performance, la qualité).
La difficulté dans la réalisation de projets, ce n'est pas les aspects "métiers", ce sont les aspects contraignants de la production. Quand un client me demande un truc de fou, je ne lui réponds jamais que c'est impossible, car tout est possible. Je lui réponds juste que la contrainte de coût fait que ce n'est pas possible tel qu'il le conçoit, mais qu'on peut trouver un moyen de répondre à son besoin d'une autre manière.
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Aujourd'hui je
Sérieusement les mecs.
"He's awake who thinks himself asleep."
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Alala les débats avec Ced m'avaient manqués ! Re tout le monde, je suis de retour après avoir passé ces dernières années en prison. Ou pas.
Aujourd'hui jour de repos, au programme League of legends, footing, séries... Les joies du célibat !
Le bisou.
"L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui !" (Pierre Desproges)
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Alala les débats avec Ced m'avaient manqués ! Re tout le monde, je suis de retour après avoir passé ces dernières années en prison. Ou pas.
Aujourd'hui jour de repos, au programme League of legends, footing, séries... Les joies du célibat !
Le bisou.
Je croyais que t'étais dans l'armée. Tu vas me dire que c'est peut-être pas si différent.
Bon retour par minou blblblblblblb.
Quand on a du caractère, il est toujours mauvais.
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Aujourd'hui, je me suis fait rentrer dedans par une jeune fille (d'environ 25/26 ans et fort jolie) en vélo parce que j'ai laissé passer deux vieux grand-pères sur le passage protégé d'un croisement sur le Boulevard Montparnasse. Et la jeune fille m'a insulté parce qu'elle a déraillé et un peu plié sa roue.
Je lui ai répondu : 'Mademoiselle, je comprends que vous ayez eu peu mais il est fort dommage d'employer des mots si moches quand on est belle comme vous'. Elle est devenue toute rouge et les deux grand-pères étaient en train de se marrer comme pas possib'.
Bon, et p'is je suis gentil comme tout parce que je lui ai remis sa chaine.
Mais je lui ai dis qu'il fallait bien qu'elle aille au magasin pour dévoiler la roue parce que là, ça sortait du cadre de mes compétence en mécanique... surtout avec une réunion dans les 30 prochaines minutes à l'autre bout de Paris.
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
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Aujourd'hui je me pose la même question que les autres aujourd'hui, pourquoi j'ai encore bu hier...
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Aujourd'hui je me pose la même question que les autres aujourd'hui, pourquoi j'ai encore bu hier...
Aujourd'hui, j'ai mal au crâne. Et hier, je n'ai pas bu.
Coïncidence? Je ne crois pas.
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
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C'est un signe! Aimons nous soleil bleu et poneys roses!
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Aujourd'hui, mes vœux 2015 en toute simplicité !
Avertissement préliminaire à ces vœux :
Le principe de précaution est maintenant inscrit dans la Constitution, tandis que des lois pénales sévères prohibent toute discrimination et toute analyse hérétique de l'histoire contemporaine, sous peine de prison. Par prudence, je vous adresse donc pour 2015 des vœux que j'espère "politiquement corrects" et, surtout, en conformité avec la législation en vigueur.
Vous voudrez bien trouver ci-dessous, sous la forme légale fournie par mon avocat, la formulation de mes vœux pour 2015.
Bien à vous.
Je vous prie d'accepter, sans aucune obligation implicite ou explicite de votre part, mes vœux à l'occasion du solstice d'hiver et du premier de l'an, en adéquation avec la tradition, la religion ou les valeurs existentielles de votre choix, ou dans le respect de leur refus.
Mes vœux concernent plus particulièrement :
- la santé, ceci ne supposant de ma part aucune connaissance particulière de votre dossier médical, ni immixtion dans le dialogue confidentiel établi avec votre médecin traitant ou votre assureur avec lequel vous auriez passé une convention obsèques ;
- la prospérité, étant entendu que j’ignore tout de la somme figurant sur votre déclaration de revenus, de votre taux d'imposition et du montant des taxes et cotisations auxquelles vous êtes assujetti ;
- le bonheur, sachant que l'appréciation de cette valeur est laissée à votre libre arbitre et qu'il n'est pas dans mon intention de vous recommander tel ou tel type de bonheur.
Nota Bene :
Le concept d'année nouvelle est ici basé, pour des raisons de commodité, sur le calendrier grégorien, qui est celui le plus couramment utilisé dans la vie quotidienne de la région à partir de laquelle ces vœux vous sont adressés. Son emploi n'implique aucun désir de prosélytisme. La légitimité des autres chronologies utilisées par d'autres cultures n'est absolument pas mise en cause, notamment :
- le fait de ne pas dater ces vœux du 1er jour (du Cheval de bois) du 12ème mois (Gusi) de l'année du Dragon d'Eau, 78ème cycle, n'implique aucune prise de position dans l'affaire dite "des frégates de Taïwan" ;
- le fait de ne pas dater ces vœux du duodi de la 2ème décade de Nivôse de l'an 222 de la République Française, une et indivisible, ne saurait être assimilé à une contestation de la forme républicaine des institutions.
- le fait de ne pas dater ces vœux du 28 yawm al-'arb`a' de l'an 1435 de l'Hégire (fuite du Prophète à Médine) ne constitue ni une manifestation d'islamophobie, ni une prise de position dans le conflit israélo-palestinien ;
- le fait de ne pas dater ces vœux du 29 Teveth 5774 ne constitue pas un refus du droit d'Israël à vivre dans des frontières sûres et reconnues.
Enfin, l'emploi de la langue française ne sous-entend aucun jugement de valeur. Son choix tient au fait qu'elle est la plus couramment pratiquée par l'expéditeur et la plupart des destinataires. Toute autre langue a droit au respect ainsi que ses locuteurs.
Clause de non responsabilité légale :
En acceptant ces vœux, vous renoncez à toute contestation postérieure.
Ces vœux ne sont pas susceptibles de rectification ou de retrait. Ils sont librement transférables à quiconque, sans indemnités ni royalties. Leur reproduction est autorisée. Ils n'ont fait l'objet d'aucun dépôt légal.
Ils sont valables pour une durée d'une année, à la condition d'être employés selon les règles habituelles et à l'usage personnel du destinataire.
A l'issue de cette période, leur renouvellement n'a aucun caractère obligatoire et reste soumis à la libre décision de l’expéditeur. Ils sont adressés sans limitation préalable liée aux notions d'âge, de genre, d'aptitude physique ou mentale, de race, d'ethnie, d'origine, de communauté revendiquée, de pratiques sexuelles, de régime alimentaire, de convictions politiques, religieuses ou philosophiques, d'appartenance syndicale, susceptibles de caractériser les destinataires.
Leurs résultats ne sont, en aucun cas, garantis et l'absence, totale comme partielle, de réalisation n'ouvre droit à aucune compensation.
En cas de difficultés liées à l'interprétation des présentes, la juridiction compétente est le Tribunal de Grande Instance de ma ville.
Dernière modification par phil_good (23.01.2015 17:25:02)
Un jour, j'irai habiter en Théorie ! Il parait qu'en Théorie tout va bien...
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Aujourd'hui...
ctrl/C ctrl/V du post de Phil.
Quand on a du caractère, il est toujours mauvais.
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Aujourd'hui, TOIC le matin, grogneugneu sacrebleu laissez moi dormir :L
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Aujourd'hui, je vais acheter un nouveau vélo pour l'anniversaire de ma copine.
(parce que, merde, son vélo hollandais est à l'image de la politique économique du président du même nom!)
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
'Soyez réaliste, demandez l'impossible' (Ernesto Guevara)
'Bien heureux les langues de p****.'(Jésus - Le Troisième Evangile selon St Emilion, verseZ 8.6)
Smile, you're on CCTV!
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Aujourd'hui, je vais acheter un nouveau vélo pour l'anniversaire de ma copine.
(parce que, merde, son vélo hollandais est à l'image de la politique économique du président du même nom!)
Dans ce cas achète-lui plutôt un Pédalo.
Quand on a du caractère, il est toujours mauvais.
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Héhé, en voilà une bonne idée!
En tout cas, c'est que c'est dur à réparer les vélos hollandais - je n'ai pas la connaissance nécessaire de mon côté.
Dernière modification par Ced (24.01.2015 09:50:40)
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
'Soyez réaliste, demandez l'impossible' (Ernesto Guevara)
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