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où t'as vu que les métalleux étaient avec Sarkozy? T'as pris quoi? Je veux la même chose!
(En même temps dire que tous les métalleux sont contre ou avec sarko mutile le principal atout du métal: all differents )
French Touch Puta Madre <3
Khazad-Dûm Guardians riprisent!
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Trèèèès vieux poème touché et retouché encore et encore... jusqu'à atteindre ceci
Tu es la lune dans le ciel
Mon rayon de soleil
Tu éclaire ma vie sans liesse
D'une lumière enchanteresse
Mon coeur s'enflamme d'une incandescence passionnée
Envers l'automne de tes cheveux où j'aimerais me promener
Tes yeux sont une mer où j'aimerai plonger et pécher ton coeur
Ta voix est un bouclier qui me protège du malheur
Ton coeur est un tambour qui apaise ma folie
Tu es un archange de mélancolie
Je n'imagine pas laisser une seule journée
Tes lèvres sans la chaleur de mes baisers
Avec, en bonus, une prose de déclaration:
Pourras-tu jamais comprendre la flamme qui m'a ranimé pendant la seconde où je t'ai vue, l'étincelle dorée qui m'a enflammé le coeur, qui a réduit à néant tout ce que j'ai pu penser dans la fraction de seconde où nos yeux se sont croisés et où je suis mort un millionième d'instant devant toi.
French Touch Puta Madre <3
Khazad-Dûm Guardians riprisent!
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C'ets vrai, mais j'ai des amis qui sont pour Sarkozy, même pour Le Pen, alors c'est pour ça ... et vu qu'ils sont tous métalleux
Change d'amis.
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Waouw, magnifique
J'en avais un en cours mais j'vais le supprimer et voir pour recommencer, ça ne donne pas grand chose d'intéressant, la preuve en im... lettres
Sans toi
Le soleil sans toi n'est que lumière obscurcie,
L'Homme sans toi n'est qu'être bestial accroupie,
Le chant de tout oiseau sans toi n'est que vil cri,
Et l'envie sans toi n'est que mégalomanie.
L'air sans toi n'est simplement qu'air empoisonné,
L'amour sans toi ne mérite pas un baiser,
Les nuages sans toi ne sont que simplifiés,
Et l'histoire sans toi n'est qu'histoire oubliée.
Le chemin coulant sans toi n'est qu'une hécatombe,
Le paradis clair sans toi n'est qu'un enfer sombre,
La vérité sans toi n'est qu'un ciel sans colombe,
Et ma vie sans toi n'est qu'une vie qui succombe.
(vrai truc de débutant :] )
Peut-être devrais-je commencer par faire des bonnes rimes et métaphores avant de voir pour les syllabes ?
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Death Illusion a écritC'ets vrai, mais j'ai des amis qui sont pour Sarkozy, même pour Le Pen, alors c'est pour ça ... et vu qu'ils sont tous métalleux
Change d'amis.
+1
Web site: Anti-Travail
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Disons que mes modèles sont Paul Eluard et Baudelaire (Eluard pour les idéaux et les vers; et oui vers libres; Baudelaire pour l'univers et les figures de style), plus bien sûr le vagabondage dérivant de mon imagination... ce qui donne les poèmes que vous avez pu lire.
Méchante maman qui a fait le ménache et a jeté mes notes pour mon roman T_T tout à recommencer, et plus de cours de français pour écrire T_T pas juste...
Tiens d'ailleurs, annonce sérieuse: je suis prêt à écrire pour un groupe de musique, rock, métal, reggea, punk, etc.
Dernière modification par Vanaleth (21.09.2007 16:27:46)
French Touch Puta Madre <3
Khazad-Dûm Guardians riprisent!
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Jour de ma naissance, 18décembre..
La léthargie me gagne, et plus jamais ne me quitte,
Tu m'a mis au monde, je t'ai tué, nous sommes quittes
Criminel de naissance, mon utopie de finir ce calvaire,
L'affront de ma naissance, finira lorsque je serai sous terre
Jour de ma Mort, recouvert de cendres..
_________________________________________________
De mon coeur Ténébreux,
Des pintes d'amour tu as tiré,
Avec un alambic? Je ne le sais...
Saouls de notre amour,
Ivres de notre bonheur..
Tu meurs, Je désaoule...
_________________________________________________
Dans ce monde fais de rage et de haine,
D'amour j'ai comblé ton coeur en peine,
Oublions nos passés destructeurs,
Et vivons ces bons moment fugueurs,
Enchainons les, afin de les vivre éternellement,
Parce que nous avons la volonté de s'aimer..
_________________________________________________
Je me promène,
L'âme en peine,
Je meurs,
L'âme en pleurs,
On m'enterre,
Je te perds,
Je disparais,
Je t'aimais..
________________________________________________
Ronron fais le chaton~
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Hmmm très profond, très beau, et mélancolique avec ça! J'adore et j'adhère!(oui bah j'aime cette phrase et puis je vous cule hein )
French Touch Puta Madre <3
Khazad-Dûm Guardians riprisent!
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Merci beaucoup
Ca fais trop plaisir =P
Ronron fais le chaton~
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Ne sais plus où donner de la tête. Tête en l'air , l'air de rien.
Rien à faire même si je me retrouve à terre. Terrifiante malfaisante.
Je suis du toc issue de la contre-bande..
Je ne vaux rien regretter.
Bris et débris. Puzzle et recollage. Blessures et guérisons.
Tombent les bris de débris,
Des bris de vers.
Versets biaisés, avérés
Par mon phrasé brisé.
Et je marche, lassée !
Je cherche.
Lacets las lacérés !
Je me tais à haute voix,
Et je hurle mes cris bas.
__________________________________________________________
Je vous proposerais bien une soirée en tête à terre mais le sol est bien dur.
Un seul mot à la bouche : Oublier.
Tous les moyens sont bons.
Coma éthylique juste pour l'éthique.
Noyer sa détresse gorgée après gorgée..
Jusqu'à l'asphyxie ?
L’alcool pour faire passer la pilule, une ou deux heures en apesanteur mais ça n’est qu’un leurre.
Une vraie peste qui empeste l’alcool.
Sur le bord de la route là, comme un chien qu’on abandonne.
Comme une loque qui débloque.
Convulsions juste pour attirer l’attention..
Ne plus avoir besoin de mettre un coussin devant son visage pour CRIER.
Et se vider. S’epuiser. S’évanouir. S’endormir.
Appel à la pensée autonome ?
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Les cinq Feux de la Passion
Entendre le son de ta voix
Qui murmure "mon roi"
Qui me chuchote des mots doux
Si doux qu'ils me rendent fou
Te voir, si belle, dans la lumière
Tellement magnifique que j'en perds
Le sens commun, mais ma passion
Ronronne tel un majestueux lion
Toucher ta peau de velours
Pendant un laps de temps trop court
Cela suffit à me faire évader
De cette prison irréelle où je suis enfermé
Sentir ton odeur fraîche et légère
Me fait soudain devenir de fer
Et mes narines frémissent encore
De sentir tes effluves en or
Goûter à ton épiderme si sucré
A tes lèvres à la saveur salée
Goûter au bonheur dans tes bras
Jamais plus je ne veux me séparer de toi
French Touch Puta Madre <3
Khazad-Dûm Guardians riprisent!
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La lumière diminue peu à peu tandis que le silence s'installe progressivement dans la salle. J'entre sur la scène, je suis l'un des personnages. Mon rôle commence, et, ma tirade lancée, je ne m'arrête plus. Mon rôle prend vie. Elle est là, sur moi, sans cesse, tel un voile, me devançant à tout moment. Je la poursuis, indéfiniment, celle qui porte mon visage. Sur un chemin tortueux et semé d'obstacles, je ne parviens plus à la rattraper. Je suis laissée au bord du gouffre, rampant derrière elle s'éloignant encore. Je ne suis plus que l'ombre de moi-même, tentant en vain de me saisir de cette autre devenue moi. Je me relève, usée par le temps et la douleur. Ma main se tend, se heurte à un mur invisible que mon âme a bâti au fil des années. Elle m'a vaincue, brisée. Je la suis, égarée, mon moi derrière moi, perdue dans les méandres de la scène, de mon âme. Les rideaux restent ostensiblement fermés, condamnée à demeurer ombre incertaine. Je n'aperçois bientôt plus qu'une sombre silhouette et le masque s'ancre lentement sur ma peau, s'enfonçant dans la chair, épousant mes traits et affichant ce sourire tant haï. La douleur s'amplifie et se concentre dans mon esprit, prisonnier, sans laisser d'autres traces qu'une larme, invisible. Un être condamné à vivre sous des apparences aux tons joyeux, insouciants, comme si la liberté, nos différences, s'effaçaient afin de recréer une espèce conforme à la norme du cerveau bridé, privé de la connaissance: des machines uniformes et exploitables. Je me suis évaporée près du ravin et pourtant j'erre encore à ses côtés. Je supplie qu'on rallume les lumières, qu'elle disparaisse, cette autre devenue moi, moi que j'ai oubliée, moi qu'elle a remplacée. Je la hais et pourtant elle est moi.
Mais je ne suis peut-être que moi,
Au sommet de la démence,
Par delà l'oubli de soi, des souvenirs.
Je ne sais plus.
"Le passé nous retient, l'avenir nous tourmente, et c'est pour ça que le présent nous échappe"
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A Un Contre Mille (avant-dernier chapitre):
[…]Garroth était fier. Non pas des dizaines de villageois homme-loups qu’il avait tué, ni de l’or qu’il avait amassé en pillant le pauvre village à l’orée de la banquise. Il était fier de commander la plus grande armée qui avait jamais foulé la Terre. Cette armée, il en devait le commandement à son maître, Tharan, le roi Sombre. Le fait que cette armée forte de dizaines de milliers de mutants en tout genre ait pu passer au travers de la ligne de protection de la frontière était un exploit dont le mérite revenait exclusivement à son général en chef, Garroth l’Impitoyable, le Guerrier Sanguinaire. Maintenant que l’armée des neuf royaumes était derrière eux, les mutants pouvaient enfin piller les villages de l’arrière-pays, bien plus riche et plus vert que le maigre pays des Glaces. Et rien ne pouvait freiner sa terrible avancée vers le royaume de la Terre. Cela, Garroth en était persuadé.
Ashnouh se posa près de Jelk, qui la questionna aussitôt sur ce qu’elle avait vu.
-Des mutants. Des milliers de mutants.
-Comment ? Mais le front devait toujours tenir.
-Même avec le dispositif des homme-tigres, tout le monde savait que ce front allait tomber un jour ou l’autre.
Tisek, entendant parler de son peuple, se rapprocha de l’homme-colombe et de la femme-hibou.
-Que se passe-t-il ?
Ce fut Ashnouh qui lui répondit
-Des mutants viennent de passer le front Nord. Ce qui veut dire que les villages frontaliers ont dû…
Mais Ashnouh s’interrompit en voyant que Samsel les écoutait. Le fier homme-loup serra les doigts si fort sur sa terrible épée à deux mains que ses articulations blanchirent.
-Il faut les arrêter avant que d’autres villages ne subissent leur soif de meurtres.
-Bien sûr ! S’exclama Armurn. À dix contre dix mille ! Et tu penses vraiment vaincre ?
Samsel baissa la tête. Bien sûr, Armurn avait raison, comme toujours. Mais ce n’était pas une raison pour abandonner.
-Vous pourriez utiliser vos pouvoirs pour les vaincre facilement.
-Les instructions du roi-lumière ont pourtant été claires : ne jamais tuer avec la magie tant que nous n’avons pas tous les éléments, dit Telk.
-Mais avec un peu de chance, Tharan n’a pas tous les anti-éléments !
-Tu parles de chance, toi qui ne te fies d’ordinaire qu’à ta force pour vivre, répliqua Armurn, toujours acerbe.
-De toute façon, nous sommes obligés de les combattre, dit Gaïa
-Comment cela ? demanda Jahn.
-Nous sommes encerclés, répondit-elle en sortant son arme.
En effet, un groupe d’éclaireurs mutants les avaient répérés, et étaient allés prévenir le reste de leur horde que les individus si recherchés par le sombre maître se trouvaient dans une petite vallée, à peine à quelques centaines de coudées de là. Et Garrot venait de voir là un bon moyen de s’attirer encore plus de faveurs de la part de son maître, ainsi que de pouvoir tuer les meilleurs guerriers des neuf royaumes.
-Préparez-vous au combat ! Hurla Jelk, tandis que ses compagnons se postaient en cercle pour la bataille la moins équilibrée que le monde ait jamais connu. Pensez donc, à dix contre dix mille. Les mutants n’avaient aucune chance.
L’instant d’après, des centaines de mutants jaillissaient du surplomb, fondant sur le petit groupe de guerriers à une vitesse extraordinaire. Mais pas assez rapidement pour Tisek et Gaïa, qui eurent assez de temps pour en tuer une dizaine chacun avant le corps-à-corps. Dents et crocs contre l’acier froid, les mutants n’eurent même pas le temps d’ouvrir la gueule pour mordre que déjà ils devaient enjamber les corps de leurs compagnons. Et les combattants restaient en cercle, sachant que leur survie dépendait uniquement de cette position de défense. Armurn brûlait de plonger dans la mélée, et de tournoyer comme il le faisait si bien. Mais en faisant ceci, il condamnait ses compagnons. Aussi se contentait-il d’éviscérer ses adversaires, bougeants à grande peine, entravés par les cadavres. Les guerriers étaient trop occupés à tuer ces chairs putréfiantes et malodorantes pour se soucier du ciel. Ce genre d’erreur ne pardonne pas, à un contre mille. En effet, un mutant volant massif, portant un déchiqueteur sur son dos, se posa au centre du cercle des guerriers, les envoyant valser en ouvrant ses ailes, tandis que le déchiqueteur se lançait contre Tisek, qui venait d’arracher une tête, et ne vit pas les griffes crénelées lui arriver dans le dos. Soudain, le déchiqueteur tomba, une plaie béante dans le dos. Armurn venait de sauver le jeune de la bande. Les guerriers tentèrent de se rassembler, mais la masse compacte des mutants les en empêcha. Ce ne fut qu’alors que la pluie se mit à tomber. D’abord une fine bruine, elle devint vite un épais rideau d’eau et de brouillard d’où il était impossible de voir à plus de dix coudées. C’est alors que commença le cauchemar. Puisqu’il leur était impossible de voir leurs ennemis, les guerriers combattaient à l’aveugle, alors que les mutants au flair développé les situaient facilement.
Telk bondissait, écrasant les crânes ennemis d’une simple pression de la main, arrachant des jambes en une valse mortelle. Les constellations lui fournissant toujours force, vitesse et agilité, il était bien plus puissant que chaque mutant qu’il mettait à terre sans effort. Soudain pris à partie par trois Gigantes, il dut reculer et sentit une résistance dans son dos. Le cliquetis qu’il entendit alors lui indiqua que c’était son cousin qu’il venait de heurter. Prenant le bras de Jelk, il pivota autour de son allié, frappant de ses pieds tous les mutants à proximité. Jelk fit pareil, et tous deux unis par le bras, ils commencèrent alors une ronde de mort. Tous leurs adversaires dans un rayon de dix coudées venaient de périr, soi sous les coups de bottes de Telk, soit sous l’épée de Jelk. Ils purent alors rejoindre Samsel et Armurn qui combattaient dos-à-dos. Ils formèrent un carré, et, tournant sur eux-mêmes, ils furent inaccessibles pour les mutants dont les griffes leur étaient inutiles ici.
Garroth n’était pas seulement un excellent guerrier au corps à corps, il était aussi un des meilleurs archers du royaume des ténèbres. Et il avait la meilleure vue qui soit au monde. Pour lui, la pluie ne le gênait guère plus qu’à quelques dizaines de pas, et encore, juste s’il voulait garder un tir précis. Or, la précision était ici inutile, du fait que les imbéciles qu’il combattait s’étaient regroupés. Il savait qu’il suffisait qu’il en tue ne serait-ce qu’un seul, et leur tentative de libération serait aussitôt avortée. Il ne fit donc qu’un seul mouvement de tir, lançant sa flèche au hasard au milieu du groupe le plus important.
La flèche noire dentelée fondit dans les airs, traversant les gouttes d’eau sans pour autant dévier de sa cible. Un homme-colombe tenant une épée.
Telk entendit le sifflement de la flèche, et ne fit qu’un bond, s’interposant entre le trait mortel et son cousin. Sentant une douleur à la gorge, il comprit alors que son heure était venue. Son seul regret fut de n’avoir pas pu tuer plus de mutants avant de trépasser. Il s’écroula devant son cousin, le regard vitreux.
Jelk, paralysé par ce qu’il venait de voir, s’agenouilla à côté de son cousin, le prenant dans ses bras, et pleura de toute la tristesse dont il était capable.
Samsel avait vu tout cela. Il comprit alors le danger que courait Jelk. S’adressant à Armurn, il lui cria d’activer son bouclier. Armurn s’exécuta, séparant leur groupe du reste de l’armée Noire. Ils regardèrent le corps de Telk, et même Armurn l’insensible versa une larme.
L’un des héritiers du trône du royaume-lumière venait de périr.
Jelk sentit une grande haine envahir alors son cœur jusqu’alors empli de tristesse. Ses compagnons virent un bouclier blanc apparaître à une coudée de décalage par rapport à celui d’Armurn. Et ce bouclier se mit à briller de plus en plus, puis se mit à émettre un son étrange, et à vibrer. La lumière environnante leur sembla faiblir. Jelk venait de pomper la lumière du Soleil pour alimenter son bouclier. Armurn, sentant ce qui allait advenir, désactiva son bouclier et appela ses compagnons, toujours en train de combattre le reste de la horde :
-Activez votre bouclier ! Jelk lance un sort de destruction de masse !
Il eut la satisfaction de voir les boucliers de ses amis s’activer.
Jelk hurla, augmentant le diamètre de son bouclier d’un seul coup, libérant sa rage, sa haine et sa tristesse, tout en levant la tête vers le Soleil, les yeux pleins de larmes. Le bouclier avait atteint une telle luminosité et le déferlement de pouvoir était tel que les huit guerriers furent aveuglés. Mais ils gardèrent la présence d’esprit de ne pas désactiver leur bouclier, qui fut quand même bien endommagé par l’onde de choc magique de lumière. Lorsque les étoiles et les taches blanches eurent cessé de danser devant leurs yeux, ils purent constater les dégâts que Jelk avait causés.
La grande armée des ténèbres venait d’être anéantie par un seul homme-colombe.[…]
Arf voilà donc la grande bataille contre les mutants. Mais c'est loin d'être le dernier combat.
French Touch Puta Madre <3
Khazad-Dûm Guardians riprisent!
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Hum mais c'est que ça pète bien grandiosement tout cela J'aime beaucoup !
Bon, histoire de réanimer quelque peu le sujet (tu vas être content Vana') je dépose une prose que j'ai écrit aujourd'hui en cours.
Soyez induglent, c'est ma toute première prose Pour le titre, je verrai plus tard
La nuit est là, le jour est temporairement mort.Mes yeux caressent les étoiles qui dorment paisiblement dans ce voile immensément sombre. Une légère brise fouette mon âme et glace
mon sang. Mon regard est attiré comme aimant face à ces squelettes de feuilles et de bois qui tendent leurs bras au ciel comme
pour chasser quelconques démons qui désireraient s'approcher de ces divinités brillantes. Les yeux de la nuit, tels subjugués de
mon histoire, m'offrent leur infinie attention. Je pose nombre de questions au ciel qui s'empresse de me répondre d'un clin d'oeil
mystique et mystérieux. Une myre d'argent flotte dans la nuit comme une idée flotte dans l'esprit. Fixe du regard et mobile du
réèl, elle demeure là haut depuis toujours et y demeurera jusqu'à jamais. Les sons nocturnes sont si doux qu'ils se glissent
astucieusement dans le néant silencieux de la mort. La beauté de ma vision me rendant persistant ne tarde de céder à la tentation
de la fatigue. Ce poids immense commence à peser sur mon esprit. Doucement, je m'appuie sur un rocher d'herbes et de mousse, un
courant d'air se glissant dans le labyrinthe chevelu de mon crâne, la douceur de la nuit servira de couverture à mon âme.
Lentement je ferme les yeux et je m'éteins jusqu'au retour du jour.
Dernière modification par Death Illusion (02.10.2007 16:43:07)
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La V2
Amis, autour de nous, v'là les conspirateurs,
Ils rodent dans la nuit le tout nouveau moteur
Qui, venant au grand jour, sera plus formidable,
Donnera aux lombriks l'atout considérable
De surfer sur un site empli de nouveautés.
On restera baba devant tant de beauté!
Mais avant tout cela, avant que l'on se lance,
L'accouchement se fait dans de grandes souffrances:
LeLoMBriK submergé de règles, de calculs,
Sephi, lui, en a marre et vraiment plein le c..,
Tiépo les aide aussi à bâtir l'édifice,
Fefaine s'immôle encor. Ils font le sacrifice
D'une jeunesse dont tous pourraient jouir,
Pour que le lombrik-lambda puisse s'esbaudir.
Braves modos lancés dans la grande aventure
Qui doit enfin du cercle régler la quadrature.
Car voici que se lèvent les revendications
Du peuple lombricien qui veut le plus d'options:
Calimotte veut des fonctions supplémentaires,
PV veut pouvoir noter tous les commentaires,
Fefaine des liens de pages, El_rey veut sa playlist,
Arno_léa plus de smileys _ce n'est pas trist(e)_
Le-long-brick veut que soit mentionné tous les sexes,
Death a ses préférences; nul ne veut qu'on le vexe...
Et le pauvre Sephi, transpirant sang et eau,
S'efforce de satisfaire chacun à son niveau.
Hé va donc, brave helvète, génie informatique,
Il ne faut surtout pas que pour nous tu paniques!
Tout ce que tu feras, aidé de tout le staff,
Sera bien! Chacun y retrouvera son taf!
. . . . . . . . . . . . . . .
Hormis les jamais contents à l'esprit étroit,
Qui déjà, impatients, attendent... la V3!
Dernière modification par le-long-brick (04.10.2007 14:45:16)
Mon top4:1 Maddy Genets 2 Napoléon 3 Frankie 4 Hémogloblak
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Haha, très bon le-long-brick, vraiment très joli.
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M comme la magnificence magique du monde merveilleux où j'aimerais mourir dans un moment mirifique mixte de millions de mhyrre amoindrissant mes maux.
A comme l'absence hallucinante d'amour qui m'assaille, quand, ah, ma magnifique aimée tu m'arraches l'âme à coups de lames de passion et de flammes.
E comme l'édifiant élément qu'énonce l'époustouflant théatre épisodique, comme l'élaboration éhontée des poèmes que je te dédie.
V comme la volonté valeureuse vivant en ma vivacité, aussi vraie que véridique, aussi voyante que visible, comme la Vie vénérée voulant vraiment que nous vivâssions ensemble.
A comme l'arbre ancestral que je t'apporte à la fois larmoyant, à la fois compatissant de ton arrachement à la réalité, sachant qu'avant toi je n'aimais pas.
les allitérations c'est la classe... par contre pour les voyelles je ne sais plus comment ça s'appelle.. tant pis
EDIT: Bah puisque personne poste pour m'aduler, je met un poème de ma copine, na!
Dans un sombre château tout près de la lune se dressait une nuit d'un immense silence...
Jamais se souvenir de cet instant, petit instant perdu au fond du précipice, puit infâme de mes souvenirs...
J'y rêve et je tombe du fond le monde est si beau...
Ne plonge pas, l'abîsse est profonde, ma vie à la pointe du poignard, couteau de feu brisant les flammes...
Une rose fierté du matin, glisse doucement ses doigts sous ta chemise, réveille toi endors moi...
Douleur sucrée de mes désirs inachevés, quand de mes mains glisse le repos éternel...
Je sais où trouver cette mélodie, survivante de ce violon à l'agonie...
Je t'aime, je t'aime, mais où s'en vont mes nuits ? Où vogue cette douceur amère de ton absence, quand mes yeux se ferment, rideau de fer me renvoyant ton image...
Dernière modification par Vanaleth (05.10.2007 19:21:54)
French Touch Puta Madre <3
Khazad-Dûm Guardians riprisent!
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