Et ... Elle était grosse ? Elle avait des seins ?
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C'est pas une femme a barbe c'est Tiépo...
Franchement t'abuse quoi, le pauvre...
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Puisqu'on est dans l'endocrinologie. Est-ce que la maladie de basedow peut expliquer une pilosité importante ? ( et pour les petits malins j'ai PAS la maladie de basedow )
Edit : maintenant que je connais le métier de Ced j'ai une question :
Comment se fait-il qu'on ne puisse pas prévoir un séisme, ni son intensité ?
J'avais cru comprendre qu'il existait une sorte de quadrillage marin par balises qui surveillent les différentes plaques et leurs mouvements.
Il n'y a pas de signes annonciateurs ? ( genre le petit caillou qui tombe dans un puits ) Ou alors les signes ne sont pas à échelle humaine ?
Dernière modification par feyfey (24.08.2010 21:50:09)
Quand on a du caractère, il est toujours mauvais.
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Bah écoute, pour être franc, je ne connaissais pas Basedow, j'ai donc regardé sur internet : ça serait donc une thyroïdite auto-immune qui entraîne une hyperthyroïdie ! Et je ne pense pas qu'il y ait de liens entre les hormones thyroïdiennes et la pilosité (quoique hypothyroïdie peut entraîner perte de cheveux, toussa...)
La pilosité est surtout due aux androgènes, en particulier la testostérone !!
L'hormone des mâles, des vrais ! Hahhaha
Dernière modification par Haricot (24.08.2010 21:56:00)
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Ah... B'alors j'ai un vrai à la maison ( et c'est lui Basedow ! )
Quand on a du caractère, il est toujours mauvais.
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Ton ... chat ?
Hahahha !
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Bah écoute, pour être franc, je ne connaissais pas Basedow, j'ai donc regardé sur internet : ça serait donc une thyroïdite auto-immune qui entraîne une hyperthyroïdie ! Et je ne pense pas qu'il y ait de liens entre les hormones thyroïdiennes et la pilosité (quoique hypothyroïdie peut entraîner perte de cheveux, toussa...)
La pilosité est surtout due aux androgènes, en particulier la testostérone !!
L'hormone des mâles, des vrais ! Hahhaha
En gros, un vrai mâle à des poils partout et perds ses cheveux.
Je crois que je vais m'implanter des hormones féminins.
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je ne suis pas trop poilu et je perd déjà mes cheveux, ça aurait un rapport avec le stress et le taux de testostérone? ^^
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Tout dépend d'où tu perds tes cheveux...le stress peut faire perdre du volume de cheveux, mais si c'est au sommet du crâne, ce peut être un début de calvitie (oui oui, ça peut atteindre très jeune ! et là c'est génétique : merci papa !).
Après pour la testostérone :
La revue Nature a publié en 1970 un article établissant que la pousse de la barbe chez l'homme était sensiblement plus rapide pendant ses périodes d'activité sexuelle.
T'as plus qu'à "t'activer" un peu plus
Je suis plutôt de l'avis de Haricot pour le rapport en thyroïde et poils, j'ai jeté un œil dans mes cours et il n'y avait rien (si ce n'est la perte en cas d'hypothyroïdie, mais la perte n'est pas forcément exactement l'opposé de la pousse).
Dernière modification par Argonarz (25.08.2010 07:01:27)
Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. (Gandhi)
Le drame de notre temps, c'est que la bêtise se soit mise à penser. (J. Cocteau)
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mais si c'est au sommet du crâne, ce peut être un début de calvitie (oui oui, ça peut atteindre très jeune ! et là c'est génétique : merci papa !).
Ou Maman. Il n'est pas établi que le(s) gène(s) qui code(nt) la calvicie soit sur le Y.
Et puisque ce n'est pas le cas, ça confirmerait ma tronche.
Comment se fait-il qu'on ne puisse pas prévoir un séisme, ni son intensité ?
Je ne comprends pas trop la question. On peut prévoir la location des séismes ET leur intensité dans les zones sismiquement active, mais il reste difficile de prévoir exactement l'heure du séisme. Disons qu'on résonne en terme de fenêtre de temps.
Ca, c'était la réponse courte. La suite est plus détaillée et donne l'approche scientifique des choses.
Pour bien comprendre, il faut revenir à la notion même de séisme. Un séisme est un relâchement d'énergie qui se fait le long de fractures de la croûte terrestre (appelée zones de failles ou failles). Si tu cartographies séismes, tu observeras que la majorité (mais pas la totalité) délimite des limites de plaques (appelé plaques lithosphériques). La carte ci-dessous donne la répartition des certains séismes entre 1900 et 2007 à travers le monde et tu viens bien leur location le long de limites de plaques déterminées (mais pas seulement).
Une meilleure carte est téléchargeable ici.
Le relâchement de l'énergie sismique est fonction des contraintes accumulées (pour faire simple, les forces), de la surface sur laquelle elles sont accumulées et du temps qu'il faut pour les accumuler. Par exemple:
(1) Si on accumule un peu de force sur une petite surface mais très très vite, alors on va fracturer la roche. C'est typiquement le cas d'un marteau-piqueur sur le goudron ou si tu décides de marcher avec des talons aiguilles sur une plage.
(2) Si par contre tu accumules beaucoup de contraintes sur une très grande surface, le tout à la même vitesse, alors l'occurrence sismique sera plus faible et la déformation plus diffuse. Tu fractureras et plisseras la roche. Dans la vie de tous les jours, ça se traduira par dormir sur un matelas plutôt que sur une planche à clous ou tu préfèreras marcher en basket ou pieds nus sur la plage pour moins t'enfoncer dans le sable.
(3) Et enfin, si tu accumules énormément de force sur une surface, petite ou grande, mais très très lentement, alors tu déformeras la roche, mais elle ne se brisera pas.
Tu peux faire l'expérience avec un double décimètre en plastique. Tu le tords très vite, il va se casser en plusieurs parties. Tu le tords moins vite, il va juste se tordre au milieu, jusqu'à un point de rupture. Et si tu n'a rien à faire de ta vie et que tu prends une règle 100 fois plus grande, que tu la tords très très lentement, alors tu pourras peut être faire toucher les deux extrémités.
Cela veut dire que les roches vont non seulement se déformer préférentiellement le long de zones spécifiques mais aussi de différentes manières selon le type de déformation et de la vitesse de déformation. Il faut aussi rajouter un tas d'autres paramètres, comme la nature des roches, la présence de fluides, la température, la pression dite de confinement, etc... Ce qui fait au final un système très complexe, donc on va rester simple.
Les séismes se situent toujours le long de failles. Lorsque la roche rompt au long d'une faille, il y a une brutale libération d'énergie qui se propage en surface et en profondeur, si bien que la terre tremble. Mais cette énergie n'est jamais perdue, la Terre étant un système fermé. Et ça, c'est fondamental pour comprendre la prévision sismique.
En fait, l'accumulation des forces est mesurable au cours du temps, leur migration aussi. Dans des zones bien quadrillées par un tas d'instruments tous simples (des stations sismiques et des GPS HD par exemple), on peut quantifier la déformation au cours du temps et donc reconstruire les migrations de contraintes et déterminer les zones d'accumulation et de relâchement. On va obtenir des cartes toutes colorées de ce type:
Ca montre juste des zones très déformées (en rouge et en bleu) et des zones qui ne sont pas affectés par la déformation (en vert) et le type de déformation. Là, c'est le cas d'Haïti où on voit la faille qui a rompu dernièrement et comment la déformation s'est effectuée au cours du séisme.
Dans les zones sismiquement actives, tu peux mesurer en temps réel la déformation et avec une précision incroyable. Ici, il est utilisé des unités de contraintes (forces/unités de surface), mais tu peux aussi effectuer le même travail en analysant les différences de topographie au cours du temps. La précision sera typiquement du cm voire même du mm! Si tu compares deux images suffisamment séparées dans le temps (quelques mois, un an, dix ans, etc...), tu verras des différences de topographie parfois très importantes (plusieurs cm par exemple). Cela ne veut pas dire pour autant que tu crée une montagne ou un océan, car, à un moment donné, il y a un séisme qui va tout remettre à la 'normal'!
Vient alors le deuxième volet de l'étude (c'est ce que je fais): l'étude de terrain et la cartographie des zones de failles. Tu peux reconnaître une faille en surface et en profondeur très facilement. Une faille est une surface sur laquelle se cumule des glissements de terrain successifs, dont la source est une brusque libération d'énergie (autrement dit, le séisme!). Tu peux reconstruire l'histoire des séismes par différents moyens, comme l'étude des sédiments associés, le taux de croissances de certaines colonies d'animaux (les coraux, par exemple), l'étude scientifique des écrits anciens, etc, etc... et dater le tout!
Tu vas alors voir des failles qui n'ont pas rompu depuis longtemps, si bien que le risque sismique est important car elles ont des chances d'avoir engrangé beaucoup de contraintes. Et tu vas aussi voir la migration de l'énergie relâchée au cours du séisme, qui va préférentiellement aller se localiser le long des failles qui n'ont pas joué depuis longtemps.
Au final, tu obtiens un tableau à deux entrées. D'un côté tu mesures la déformation réelle, le relâchement et la migration des contraintes et de l'autre tu cartographies le réseau de failles. Le tour est donc joué: tu peux mesurer le risque sismique dans une région déterminée!
On a ainsi su où allait se situer des séismes récents. C'est le cas du grand séisme qui a suivi le séisme du 26 décembre 2004 en Asie du Sud-Est. Une équipe de chercheurs de Coleraine (c'est le père d'une excellente copine d'ailleurs, qui a en partie dirigé les recherches!) a déterminé avec une incroyable précision où se situerait le séisme suivant. Par contre, le temps est resté incertain car encore difficilement déterminable. Si mes souvenirs sont bons, il a eu lieu trois ans plus tard en 2007, et la fenêtre de temps donnée était 10 ans.
On sait aussi où se situera un des prochains séismes européens. On sait où sont les failles et on connait les zones de failles qui ont été chargées suite aux deux séismes de 1999. Il y a donc de forte chance pour que le prochain séisme se situe à une ou quelques dizaines de km au large d'Istanbul, en Mer de Marmara (enfin... c'est ce que démontre en partie un projet de recherche auquel j'ai contribué) et il y a des chances qu'il ait lieu dans les 5 à 10 prochaines années. Du fait de sa proximité d'Istanbul et de sa probable faible profondeur, il y a des chances pour que ce soit assez catastrophique.
On sait également qu'il y a un très fort aléa sismique en Amérique du Sud, notamment au Chili, où il existe une fenêtre d'absence d'activité sismique le long d'une des zones de failles les plus actives au monde. Pareil pour la Faille de San Andreas, où le fameux Big One aura lieu prochainement là-bas. Et de nouvelles recherches ont et vont avoir lieu à Haïti ou au Pakistan, où on a déjà une idée de la location de futurs séismes (au passage, pour Haïti, le séisme attendu pourrait être encore plus dramatique que le séisme de cette année). Il y a plein d'autres zones qui sont étudiées également.
Donc, en résumé: on sait où auront lieu les séismes dès lors qu'on sait mesurer l'évolution de la déformation et cartographier les zones de failles, mais on ne peut pas encore prévoir l'heure exacte. On pourra toutefois noter la présence d'autres sciences comme l'étude de précurseurs naturels (pollution locale des eaux, relachement de gaz ou fluide) ou l'analyse de comportements animaux (quoique cela donne des résultats très aléatoires).
Et enfin, je tiens à dire que c'est une science en plein progrès. Malheureusement, il y a un total désintérêt par rapport à ces questions, surtout de la part des pays riches envers les pays plus pauvres. Dans les pays riches, on peut construire également des habitations parasismiques ou implanter relativement facilement un réseau d'études sismiques. Ce n'est pas le cas ailleurs. Je pense donc qu'il y a un réel avenir là-dedans, autant d'un point de vue scientifique que politique, mais il faut que les jeunes conviennent du bien fondé de ce type de science.
Dernière modification par Ced (25.08.2010 10:33:26)
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
'Soyez réaliste, demandez l'impossible' (Ernesto Guevara)
'Bien heureux les langues de p****.'(Jésus - Le Troisième Evangile selon St Emilion, verseZ 8.6)
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Argonarz a écritmais si c'est au sommet du crâne, ce peut être un début de calvitie (oui oui, ça peut atteindre très jeune ! et là c'est génétique : merci papa !).
Ou Maman. Il n'est pas établi que le(s) gène(s) qui code(nt) la calvicie soit sur le Y.
Et puisque ce n'est pas le cas, ça confirmerait ma tronche.
Le gène de la calvitie est un gène autosomique (donc qui ne se trouve pas sur un chromosome sexuel). Mais ce qu'il se passe, c'est qu'il est autosomique dominant chez l'homme et autosomique récessif chez la femme (dominant = 1 seule copie du gène suffit à exprimer la "particularité", récessif = il faut les 2 copies (donc une de la maman et une du papa))!
Donc ça peut très bien être à cause de la maman , qui porterait ce gène mais qui ne serait pas exprimé. Une femme peut être atteinte de calvitie si son père est chauve et sa mère porte le gène de la calvitie. Et que la loterie génétique lui refile le gène de calvitie de sa mère en plus de celui de son père !
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Merci pour la précision.
J'ai juste botté en touche (un peu!) en disant qu'il n'était pas établi que ce soit un gène sexuel, simplement parce que je ne me souvenais plus de la réponse.
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Ah !!! Monde cruel ! Adieu donc ma longue chevelure.
Tant pis, voilà mon nouveau skin dans 10 ans :
Si après faut que je passe mon temps à coucher pour garder des cheveux et faire pousser la barbe, je commence ma carrière de BG dès maintenant
(Aucun succès -.-)
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Adieu mon reste de cheveux, dans quelques années. :'(
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>Ced : existe-t-il une roche possédant une capacité élastique hors norme face aux contraintes sismiques qui pourrait être utiliser en construction pour les zones réglementées, plutôt que le bête béton armé ?
Je suis régulièrement confrontée à ces zones mais pour l'instant il semblerait que nous soyons limités en matériaux ( bon c'est pas non plus une zone super active non plus hein )
>Haricot ou Argo : puisqu'on est dans la génétique, à combien estime-t-on avoir décodé en pourcentage l'ADN humain ?
Quand on a du caractère, il est toujours mauvais.
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Décodé, c'est-à-dire le rôle de chaque petit gène, ou bien simplement séquencé ?
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Ce sont généralement les ondes dites de cisaillement qui font que les bâtiments s'effondrent lors d'un séisme. En gros, des ondes latérales qui fond tordre les constructions. Il faut donc des matériaux qui permettent à la construction de se déformer en pliant, comme des armatures en fer, en bois ou en matériaux composites. Il faut aussi que la construction soit suffisamment mobile pour pouvoir plier et non casser; ainsi, elle emmagasinera l'énergie, de la même manière lors d'un séisme, du passage d'une foule ou d'une période de vents modérés à très forts (voir par exemple les études d'ingénierie de la Burj Dubaï, de la Tour Eiffel ou du Stade de France).
Au final, le béton armé est de loin une des meilleures solutions pour qu'un bâtiment reste debout, et c'est aussi une des solutions les moins coûteuses. Ceci dit, il faut du bon béton et un maillage des armatures suffisamment étudié pour répartir les forces dans toute la structure. L'utilisation du béton armé devient encore plus puissante lorsque la construction est posée sur un système de vérins ou de coussins d'air.
Le gros problème, c'est qu'avoir du béton armé et des systèmes de vérins ne suffit pas forcément. Le sol ou la forme de la construction est aussi extrêmement importante. Deux exemples qui parlent d'eux mêmes:
(1) lors du séisme de Kobé (Japon) en 1995, beaucoup de constructions ont été détruites à la suite d'un phénomène de liquéfaction des sols, y compris certains bâtiments dont les normes parasismiques étaient les meilleures. Sous l'effet des vibrations, les particules vont perdre de leur cohérence et permettre aux constructions de s'enfoncer; la perte de cohérence est accentuée en présence de fluides. Attention aux sables, marnes, argile, etc...
(2) si un bâtiment est construit d'une certaine façon avec certaines normes parasismiques et qu'il est modifié par la suite, alors les normes parasismiques d'origine deviennent totalement obsolètes. C'est le cas d'Istanbul aujourd'hui ou même de villes comme Nice ou Marseille, qui ont vu certains bâtiments modifiés parfois de façon conséquente, sans pour autant changer certains aspects de la structure en elle-même.
Edit: j'oubliai... plus un bâtiment est gros/haut, plus son mouvement est complexe. Et plus il biscornu, plus il bougera de façon bizarre. Donc, il vaut mieux préférer des bâtiments petits et simples dans les régions sismiquement actives, ou alors avec une étude parasismique conséquente.
Redit: ceci dit, un immeuble grand sur un sol argileux, c'est le cimetière. Et pareil pour un petit bâtiment sur un sol dur, type roche plutonique (granite, basalte, etc...).
Dernière modification par Ced (25.08.2010 12:48:27)
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
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'Bien heureux les langues de p****.'(Jésus - Le Troisième Evangile selon St Emilion, verseZ 8.6)
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>Haricot : décodé.
>Ced : donc y a pas mieux actuellement. Le problème c'est qu'il n'y pas de calcul dit standard qui permettrait d'obtenir un coefficient lissé que l'on pourrait appliquer à tous les bâtiments ( en différenciant bien public et privé ). Pour le treillis soudé on a tendance à le doubler, tout simplement .
Quand on a du caractère, il est toujours mauvais.
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Bah ça dépend surtout de l'endroit où tu construis et du bâtiment. Le sol fera que tu pourras utiliser tel ou tel matériaux, la forme affinera le tout.
En attendant, tu peux dormir sous la tente, c'est toujours le mieux... ou alors faire appel à un professionnel...
... juste que je n'ai pas de morts sur la conscience, quoi!
Edit: en matière de loi européenne, je n'en sais rien.
Dernière modification par Ced (25.08.2010 13:17:58)
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
'Soyez réaliste, demandez l'impossible' (Ernesto Guevara)
'Bien heureux les langues de p****.'(Jésus - Le Troisième Evangile selon St Emilion, verseZ 8.6)
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