Alors j'en ai entendu parler,c'est de la chanson Sombre dimanche
http://fr.youtube.com/watch?v=YwLXQxQcs1Y
Cette chanson est tristement celebre car elle a poussé des 20 aines de personnes a se suicider OO
Voici les paroles:
Sombre dimanche... Les bras tout chargés de fleurs
Je suis entré dans notre chambre le cœur las
Car je savais déjà que tu ne viendrais pas
Et j'ai chanté des mots d'amour et de douleur
Je suis resté tout seul et j'ai pleuré tout bas
En écoutant hurler la plainte des frimas ... Sombre dimanche...
Je mourrai un dimanche où j'aurai trop souffert
Alors tu reviendras, mais je serai parti
Des cierges brûleront comme un ardent espoir
Et pour toi, sans effort, mes yeux seront ouverts
N'aie pas peur, mon amour, s'ils ne peuvent te voir
Ils te diront que je t'aimais plus que ma vie Sombre dimanche.
Faut que je retrouve qui a écrit ça car il a finit par se suicider aussi en ecoutant sa chanson
Edit;voila :
Connaissez-vous « Sombre dimanche », la chanson interdite à Budapest, la chanson qui tue les gens ? Non ? Et « Triste lundi », la chanson interdite à Argenteuil et à Nanterre, la chanson qui tue les mythes ?
C’est une longue et sinistre histoire…
À Budapest, en ce début de l’année 1933, le fond de l’air est frais.
Mais Rezsö Seress, 34 ans, a d’autres soucis.
C’est un artiste et son vœu le plus cher est de devenir chansonnier.
Il pianote, il écrit, mais personne ne veut de ses créations et c’est la dèche.
Côté cœur, c’est pas la joie non plus.
Dorottya, sa meuf, au lieu d’encourager amoureusement sa fibre artistique, le tourmente jour et nuit pour qu’il prenne un vrai boulot, afin de travailler plus pour gagner plus. Ben oui, faut bien financer la tourniquette à vinaigrette, le pistolet à gaufres, l’armoire à cuillères, le canon à patates et les pelles à gâteau, bref, tous les ustensiles qui transforment un misérable logis en foyer du bonheur.
Rezsö n’est pas d’accord avec Dorottya.
Dorottya n’est pas d’accord avec Rezsö.
Tous les ingrédients d’une bonne dispute sont réunis et, justement, par un dimanche hongrois et merdique à souhait, les deux tourtereaux se volent dans les plumes et se séparent en se traitant de « vils marrauds ».
Morose comme une baisse du CAC 40, Rezsö se rend au restaurant Kispipa – où il a ses habitudes - et s’assied au piano. Machinalement, ses mains commencent à improviser une mélodie mélancolique, à la mesure de cette *fille de joie* de dépression qui le grignote lentement mais sûrement.
« Quel sombre dimanche », se dit-il.
Englué dans une sordide mais fertile inspiration, il rentre chez lui, griffonne la mélodie qu’il vient de jouer au dos d’une vieille carte postale et va la porter à son ami Jávor László qui, en moins de temps qu’il n’en faut pour clouer un cercueil, lui pond de jolies paroles.
« Szomorú vasárnap / Száz fehér virággal / Vártalak kedvesem / Templomi imával. / Álmokat kergetõ / Vasárnap délelõtt, / Bánatom hintaja / Nélküled visszajött. / Azóta szomorú / Mindig a vasárnap, / Könny csak az italom, / Kenyerem a bánat. / Szomorú vasárnap… »
« Utolsó vasárnap / Kedvesem gyere el, / Pap is lesz, koporsó, / Ravatal, gyászlepel. / Akkor is virág vár, / Virág és - koporsó. / Virágos fák alatt / Utam az utolsó. / Nyitva lesz szemem, hogy / Még egyszer lássalak. / Ne féj a szememtõl, / Holtan is áldalak... / Utolsó vasárnap… »
Ce qui signifie à peu près ceci.
« C’est l’automne, les feuilles tombent. Il n’y a plus d’amour sur terre, le vent hurle et verse de tristes larmes, mon cœur n’attendra plus le printemps. Mes larmes, mes chagrins sont vains, les gens sont sans cœur, aigris et cruels. L’amour est mort ! »
« Le monde court à sa perte, l’espoir n’a plus de sens. Les villes disparaissent sous la musique des canons, les prairies sont rouges du sang des hommes, les rues se couvrent de cadavres, c’est l’heure de ma dernière prière. Les hommes, Seigneur, sont des pécheurs et font tant d’erreurs. Le monde est mort… »
Fier comme un pape, Rezsö adresse sa chanson à une maison d’édition : cette fois-ci, c’est sûr, on va le publier !
Quelques jours plus tard…
La partition lui est retournée, accompagnée de cet aimable billet.
« Cher Monsieur – Nous avons bien reçu votre chanson "Szomorú vasárnap" et l’avons étudiée avec intérêt – Nous ne dirons pas qu’elle est triste, mais plutôt qu’elle exprime un profond sentiment de désespoir et de dépression – Faut être encarté UMP pour aimer ça – Veuillez recevoir, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées. »
Mais quels cons ! Ces gens-là n’ont-ils donc aucun goût ? ne savent-ils pas reconnaître le véritable génie qui, de même que les sanglots longs des violons de l'automne blessent les cœurs d'une langueur monotone, se souvient des jours anciens et s’en va au vent mauvais qui karcherise le long des golfes clairs le soir au fond des bois ?
Rezsö, pugnace et tenace, fait jouer la concurrence – il y a toujours un fond d'ultra-libéralisme chez les Hongrois – et trouve un éditeur qui accepte de le publier.
En une semaine, « Szomorú vasárnap » fait un tabac sur les ondes de Budapest…
Enfin ! c’est le succès et Rezsö Seress voit son mérite pleinement récompensé !
Rezsö entreprend de relancer Dorottya, qui, entre-temps, s’est cassée à New York.
Apprenant sa réussite, elle va changer et revenir, c’est sûr !
Il lui écrit (« J’ai changé ! ») et la réconciliation s’annonce favorable.
Puis il lui envoie sa chanson. D’une pierre deux coups : non seulement il lui prouve qu’il a un bon programme, mais en plus, il lui fait bien sentir combien elle l’a fait souffrir, et ça, quelque part au niveau du vécu – comme on dit en mauvais français – c’est pas gentil…
Et c’est le drame.
Rezsö apprend bientôt, par la police, que sa bien-aimée s’est donné la mort en avalant une forte dose de poison. À côté d’elle, on retrouve la partition de « Szomorú vasárnap ».
Plus étrange encore : un cordonnier de Budapest, Joseph Keller, est retrouvé mort dans sa boutique. La police conclut à un suicide et remarque un détail curieux : juste avant de commettre le péché mortel, Keller a recopié sur une feuille de papier les paroles de « Szomorú vasárnap », qu’il venait sans doute d’entendre à la radio.
Toujours à Budapest, un homme élégant entre dans un cabaret et demande à l’orchestre de jouer le nouveau tube à la mode. Les musiciens s’exécutent, puis l’homme sort et s’exécute lui aussi, d’une balle dans la tête. Ailleurs, deux jeunes hommes écoutent un orchestre jouer « Szomorú vasárnap ». Après quoi ils sortent deux flingues et rejoignent illico presto le club Saint-Pierre.
En tout, plus de quinze personnes se donnent la mort avec la chanson de Seress.
Certains se jettent dans le Danube en serrant dans leur main les paroles de la chanson ; d’autres sont retrouvés chez eux, gisant sans vie à côté de leur radio ou de leur gramophone. Des pianistes se tuent après avoir posé la partition maudite sur leur pupitre. Beaucoup mentionnent « Szomorú vasárnap » dans leur dernière lettre.
Hongrois rêver, mais c’est plutôt d’un cauchemar qu’il s’agit. D’ailleurs, Hongrie au scandale et la radio de Budapest ne tarde pas à bannir des ondes la mélodie que tous appellent désormais « la chanson qui tue les gens ».
Les analystes du monde entier s’interrogent et découvrent vite le pot aux roses : si cette chanson se trouve au cœur d’une vagues de suicides, cela s’explique par l’identité nationale hongroise, parfaite illustration de la théorie des climats de Montesquieu – qui est aussi à l’origine de la théorie de la séparation des pouvoirs, mais ça, c’est une autre histoire, ringarde et démodée…
Toutes les études convergent sur un même constat, confirmé par l’OMS : les Hongrois sont caractérisés par leur pessimisme, leur déprime, leur "glauque attitude" ; le suicide est, pour eux, un véritable sport national.
On connaît, bien sûr, la défenestration, grande spécialité des pays de l’Est ; mais l’ingestion de pesticides, la pendaison, le plongeon ultime dans les eaux glacées du beau Danube bleu se défendent plutôt bien. Toutes les techniques sont bonnes pour liquider le malaise.
Bon an mal an, quatre mille cinq cents Hongrois s’évaporent et certaines bourgades du Sud sont même surnommées « les villages du suicides ».
Dans l’inconscient collectif hongrois, le suicide est, paraît-il, perçu comme une solution positive et respectable au problème de l’existence. Il est même considéré comme un acte courageux, audacieux, voire héroïque. Une manière de restaurer sa dignité quand on estime l’avoir perdue. L’exemple vient de très haut : nombre d’hommes politiques, de comédiens et d’écrivains finissent leur carrière ainsi.
Faut dire que ça a plus de gueule que de faire de la pub pour Polident ou Norwich Union…
Alors, le suicide, une tare génétique ? un « nouveau rêve » hongrois ?
Que nein ! une pratique cul-tu-relle (oui mesdames et messieurs !), ancrée dans le conservatisme réactionnaire de l’identité nationale hongroise.
Malgré la censure en Hongrie, la mélodie du suicide émigre au-delà des frontières.
En France, Jean Marèze et François-Eugène Gonda écrivent une adaptation intitulée « Sombre dimanche », qui est enregistrée le 28 février 1936 par Damia, la grande tragédienne de la chanson réaliste.
« Sombre dimanche… »
« Les bras tout chargés de fleurs »
« Je suis entré dans notre chambre le cœur las »
« Car je savais déjà que tu ne viendrais pas »
« Et j'ai chanté des mots d'amour et de douleur »
« Je suis resté tout seul et j'ai pleuré tout bas »
« En écoutant hurler la plainte des frimas. »
« Sombre dimanche... »
« Je mourrai un dimanche où j'aurai trop souffert »
« Alors tu reviendras, mais je serai parti »
« Des cierges brûleront comme un ardent espoir »
« Et pour toi, sans effort, mes yeux seront ouverts »
« N'aie pas peur, mon amour, s'ils ne peuvent te voir »
« Ils te diront que je t'aimais plus que ma vie. »
« Sombre dimanche... »
« N'aie pas peur de mes yeux s'ils ne peuvent te voir »
« Ils te diront que je t'aimais plus que ma vie. »
« Sombre dimanche… »
Le texte est également traduit et interprété en anglais, en allemand, en espagnol…
Et la série noire continue.
À Berlin, un jeune homme écoute un orchestre jouer « Sombre dimanche », puis rentre chez lui et se plaint à ses proches de cette nouvelle chanson à la mélodie sinistre et obsédante. Il sombre dans la dépression et se tire une balle dans la tête.
Une semaine plus tard, dans la même ville, une vendeuse se pend chez elle. La police trouve à ses pieds une copie de « Sombre dimanche ».
À Rome, un adolescent passe à vélo à côté d’un mendiant qui fredonne « Sombre dimanche ». Il s’arrête, range sa bicyclette contre le mur, donne au mendiant tout l’argent qu’il a sur lui et se précipite dans le Tibre en sautant du pont le plus proche : noyé…
En France, Jean Marèze – l’un des traducteurs de « Szomorú vasárnap » en français, suivez un peu, merde – se suicide en 1942.
Mais c’est la version américaine, « Gloomy Sunday », qui va assurer la fortune de « Szomorú vasárnap ».
Ou plutôt LES versions américaines.
La première, écrite par Sam M. Lewis, colle à l’original.
« Sunday is gloomy / My hours are slumberless / Dearest the shadows / I live with are numberless / Little white flowers / francis never awaken you / Not where the black coach / Of sorrow has taken you / Angels have no thoughts / Of ever returning you / Would they be angry / If I thought of joining you ? / Gloomy Sunday »
« Gloomy is Sunday / With shadows I spend it all / My heart and I / Have decided to end it all / Soon there'll be candles / And prayers that are said I know / Let them not weep / Let them know that I'm glad to go / Death is no dream / For in death I'm caressing you / With the last breath of my soul / I'll be blessing you / Gloomy Sunday »
La deuxième naît en 1941.
Billie Holiday est au faîte de sa gloire. En 1939, son enregistrement de « Strange Fruit », dénonçant le lynchage des noirs, a déchaîné la controverse et a remporté un immense succès. Dans le sillon de ce premier engagement, la diva se frotte à la chanson du désespoir.
Normal.
Billie Holiday, sa voix et sa vie cassées, et « Gloomy Sunday » étaient faites pour se rencontrer.
Seulement voilà : la production impose à Billie un troisième couplet politiquement correct, destiné à modérer le texte original par une mise en abime et l’expression d’un espoir, d’une résurrection.
« Dreaming, I was only dreaming / I wake and I find you asleep / In the deep of my heart here / Darling I hope / That my dream never haunted you / My heart is telling you / How much I wanted you / Gloomy Sunday »
« Un rêve, ce n’était qu’un rêve / Je me réveille, tu es à mes côtés / Et dans le plus profond de mon cœur / Mon amour, puisse ce mauvais rêve / Ne jamais te hanter / Mon cœur te dit / Combien je t’aime / Sombre dimanche… »
Ce couplet trahit l’esprit de la chanson originale par un révisionnisme artistiquement douteux.
Un révisionnisme que l’on pourrait rapprocher de celui qui, de nos jours, consiste à légiférer sur les bienfaits de la colonisation, ou à revêtir l’histoire de France de probité candide et de lin blanc, ou encore à caricaturer et diaboliser les mouvements sociaux et libertaires de la fin des années 1960.
Et pourtant… l’interprétation de « Gloomy Sunday » par Billie Holiday est sublime.
Normal, c’est Billie Holiday.
Une Noire, certes - beurk - mais bon... au moins, c'est une Américaine.
Mais l’histoire de « Gloomy Sunday », avant et surtout après Billie, est bien trop longue et trop riche pour être racontée ici. Une autre fois, peut-être...
Aussi finirai-je par l’évocation de la délicieuse parodie que Georgius, chanteur comique à succès qu’on appelait « l’amuseur public numéro 1 », fit de « Sombre dimanche ».
Parodie lancée en 1936, l’année même de l'immigration en France de la chanson hongroise du suicide !
Dernière modification par Iquite (08.12.2007 22:19:41)
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<glups>la chanson et l'histoire est glauque^^
mais bon a part etre depressif des le debut je vois pas comment cette chanson peux faire devenir deressif(a part les paroles)mais bon....écouter didier super si vous avez été tourmenté par cette chansson^^
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Une excellente reprise de cette chanson a été faite par Claire Touzi (Dit Terzi) sur son dernier album Izis (2004), puis par la chanteuse du groupe (en solo, album Boucle, sous le nom Diterzi) en 2006... Assurément une des meilleures chansons de ce dernier album.
C'est toi qui a écrit ce texte qui suit?
J'ai pris un grand plaisir à le lire en tout cas.
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
'Soyez réaliste, demandez l'impossible' (Ernesto Guevara)
'Bien heureux les langues de p****.'(Jésus - Le Troisième Evangile selon St Emilion, verseZ 8.6)
Smile, you're on CCTV!
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J'ai toujours considéré le suicide comme un acte courageux et réfléchi.
"L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui !" (Pierre Desproges)
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J'ai toujours considéré le suicide comme un acte courageux et réfléchi.
pas quand c'est un "appel au secours", ni quand on est 2 fillettes de 14 ans............
Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. (Gandhi)
Le drame de notre temps, c'est que la bêtise se soit mise à penser. (J. Cocteau)
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Il me semble que Venetian Snares l'a reprise dans son album absolument magnifique mais aussi très glauque, et le titre c'est "Öngyilkos Vasárnap".
Enfin si cette chanson vous faites déprimer et vous donne envie de vous suicider regardez un petit truc comme ça, ça devrait aller mieux
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J'ai toujours considéré le suicide comme un acte courageux et réfléchi.
l'acte en lui même je suis d'accord, mais l'ensemble non... Parce que se tuer est courageux, mais abandonner la vie, les épreuves, les douleurs, c'est peut-être un peu lâche.
Je ne suis pas en train de dire que le suicide c'est mal, c'est juste que je pense qu'il y a plusieurs sortes de courage...
Enfin je pense que chacun est libre de faire ce qu'il veut de sa vie, mourir ou vivre est un choix qui nous est propre. Mais il faut penser que ce n'est pas à nous qu'on fait le plus mal, mais aux autres...
Il y a des tas de raisons de se suicider quand on voit la façon dont se comporte de monde... moi je dirais que ce qui me fait rester c'est ma capacité à aimer, à ne pas faire souffir les autres...
"Le passé nous retient, l'avenir nous tourmente, et c'est pour ça que le présent nous échappe"
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J'entends souvent dire "Suicidaires égoïstes"..
Mais je pense que le vrai égoïsme se trouve dans le fait d'obliger quelqu'un, qui a un mal-être profond au point de vouloir en mourir, à vivre pour que l'on ne soit pas triste de sa mort.
Mais bon, trop peu de personnes savent de quoi il en retourne, donc a peu près tout ceux qui disent " c dé lopet lol " n'ont jamais vraiment été malheureux, et ne savent donc pas de quoi ils parlent....
Bref, stop HS ?
La chanson elle fait vraiment peur quand même.
The world francis look up and shout "Save us!". And I'll whisper "No."
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Enfin si cette chanson vous faites déprimer et vous donne envie de vous suicider regardez un petit truc comme ça, ça devrait aller mieux
Moi je propose ça. En tout cas, moi, ça me redonne le sourire
Proverbe congolais : Là où il y a du poil, il y a de la joie.
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'Tain!! Si on sait que cette chanson pousse des gens au suicide, je ne comprends pas pourquoi ils en font des reprises... Veulent-ils savoir s'ils arrivent à avoir le même effet? Seulement pour leur vanité???
"He's awake who thinks himself asleep."
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Enfin, l'analogie avec la France d'après l'élection du Présidentiellissime est quand même belle, nan?!
'Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.' (Etienne de La Boétie)
'Soyez réaliste, demandez l'impossible' (Ernesto Guevara)
'Bien heureux les langues de p****.'(Jésus - Le Troisième Evangile selon St Emilion, verseZ 8.6)
Smile, you're on CCTV!
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Hahahaha ! Excellent, j'ai rit.
"L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui !" (Pierre Desproges)
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Blblblblbl a écrit:
J'ai toujours considéré le suicide comme un acte courageux et réfléchi.
argonaz a écrit:
pas quand c'est un "appel au secours", ni quand on est 2 fillettes de 14 ans............
moi je trouve que le suicide peut etre aussi un acte lache quon utilise qaund on ne veut pas faire d'effort
sinon si cette chanson vous a deprimé aller sur http://www.dailymotion.com/relevance/se … chinoi_fun
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Mais je pense que le vrai égoïsme se trouve dans le fait d'obliger quelqu'un, qui a un mal-être profond au point de vouloir en mourir, à vivre pour que l'on ne soit pas triste de sa mort.
c'est vrai et c'est souvent le cas, mais malheureusement tout le monde ne pense pas que lorsque qu'un personne a un désir de mort envers-elle-même, le plus souvent c'est parce qu'elle n'a aucune solution et choisit cet "échappatoire" (on en revient à ce que disait naine de jardine, dans le fait que c'était une solution de facilité).
La grande majorité des personnes suicidaires sont dans un état dépressif (je ne parle pas des suicides "sur un coup de tête", [sans jeu de mot], où la réaction est plus impulsive que réfléchie), et dans cet état, ils ne visualisent pas toutes les solutions et sont même plutot pessimistes quant à leur avenir. C'est là qu'il est important de les écouter et de discuter avec eux de tout cela; certains regretterons sans doute ce qu'ils ont failli faire.
Après je pense aussi que le choix de vie d'une personne lui reviens à elle seule, donc chacun peut faire ce qui lui plait; mais il est très souvent dommage de gâcher sa vie pour quelque chose qui n'en valait pas la peine...
Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. (Gandhi)
Le drame de notre temps, c'est que la bêtise se soit mise à penser. (J. Cocteau)
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Tout dépend de la façon dont on considère la mort.
moi je trouve que le suicide peut etre aussi un acte lache quon utilise qaund on ne veut pas faire d'effort
Un acte lâche ? Non je n'crois pas.
Pour moi ça serait une ouverture vers autre chose, la mort n'est pas une fatalité.
edit : "Suicidez-vous jeune, vous profiterez de la mort." (Pierre Desproges)
Dernière modification par Blblblblbl (09.12.2007 15:52:44)
"L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui !" (Pierre Desproges)
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Le monde du suicide est très complexe, certain le font pour se libérer, d'autre pour voir se qu'il y a apres la mort. Enfin bref , on ne peux pas dire que quelq'un qui a cause de son travaille se suicide
et un punk americain (il ya 10 ans) se suicide pour un test(la communauté punk le faisait avant je crois)pour savoir si on est fidéle a ces jugement de la vie
Dernière modification par kitty kill (09.12.2007 16:03:29)
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Kitty, serait-ce trop te demander que d'utiliser la ponctuation?
Les points, les virgules ...
C'est dommage, t'écris plutôt bien en plus ^^
J'ai rien compris a ton message quoi
The world francis look up and shout "Save us!". And I'll whisper "No."
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Tout dépend de la façon dont on considère la mort.
kitty kill a écritmoi je trouve que le suicide peut etre aussi un acte lache quon utilise qaund on ne veut pas faire d'effort
Un acte lâche ? Non je n'crois pas.
Pour moi ça serait une ouverture vers autre chose, la mort n'est pas une fatalité.edit : "Suicidez-vous jeune, vous profiterez de la mort." (Pierre Desproges)
je suis d'accord avec toi mais le problème c'est qu'un petite partie seulement des personnes qui se suicident voient cet acte de cette façon là. Dans tous les autres cas il y a un malaise derrière et c'est pour éviter cette souffrance que ces personnes se suicident.
Edit > par contre je reste sur ma position quant à la lacheté de l'acte. Comme je disais tout à l'heure, quand une personne veut se suicider c'est parce que quelque chose dans sa vie la dérange et qu'elle ne veut pas affronter ce problème. Le suicide permet d'éviter la mentalisation de ce problème. C'est un peu le même principe que la fugue. C'est un échappatoire (sauf que pour la fugue on peut en revenir)
Dernière modification par Argonarz (09.12.2007 16:17:22)
Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. (Gandhi)
Le drame de notre temps, c'est que la bêtise se soit mise à penser. (J. Cocteau)
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tu as tout a fait raison argonarz,la plus part des suicides et a cause ,de maltraitance,d'attouchement sexuel,et maltraittance moral ,donc la plus part des suicides et (pour la victime) la seul voie de sortie
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Moué le suicide pour moi c'est lache , genre un type qui a une maison et a manger , il se tue
et un petit africain qui mange pas pendent 2 jour , qui travaille a 8 ans , il essaye de vivre
je sais c'est debile ce que je dis , mais c'est mon point de vue.
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