Merci,  mais je connais déjà cette oeuvre expérimentale, je me suis même fais chier à bosser quelques passages au piano (pas évident le truc, t'as vu la ligne de basse au début ? Tabadabadabadadadaba... J'ai eu des *fille de joie* de douleurs dans la main gauche...^^)
Il y a la version de Jordan rudess aussi (du groupe dream theater) qui est vraiment intéressante. http://www.youtube.com/watch?v=ToTSvYSv … ata_player
Et puisque tu insiste, mon FB c'est "Vyse-Rentaul El Nubr-Déjà"

après, visiblement il y a encore pas-mal de monde qui n'a pas/plus accès au forum, y'a comme des ponts qui ont sautés...je ne sais pas si c'est la seule raison de l’accalmie mais je pense qu'il y aurai plus d'échanges si ça revenait comme avant (je me demande combien de personnes y ont encore accès...50 ? 100 ? 200 ? 1000 ?...), par-contre, je ne connais pas la raison à ça: peut-être c'est une histoire d’hébergement ou un truc comme ça ?...

c'est l'été, il fait beau et chaud, Marbot passe à l'attaque...

à voir ouai, faudra fouiller... mais en 1ere impression je ne trouve pas que ça sonne tellement comme du Grieg, on dirait un truc beaucoup plus récent...

Aujourd'hui, comme dirait ma mère, sale temps pour les gros.

--édit-- ...et dans la soirée, j'entends un pote dire au détour d'une conversation dont je n'avais pas entendu le début:

" ...et j'aime bien les grand-mère, c'est bien pour le matin..."

j'ai naturellement pensé qu'il nous faisait la révélation d'un détail longtemps dissimulé au sujet de sa sexualité...

et bien croyez le ou non, mais il parlait de café en fait...

Miles Davis - Bitches Brew          http://www.youtube.com/watch?v=r4G-jQkKNAI

Nan Mais je n'ai fais que passer au milieux d'une place, en découvrant les lieux en marchant tranquillement, et puis un moment j'ai tilté, quelque-chose clochait... j'étais la seule personne debout, tout-le-monde était assis à parler, il y avait peut-être 2000 personnes...ils font tous la même chose au même moment, comme dans Edward aux mains d'argent, la scène où les gens partent au travail le matin parfaitement syncro : tout est propre et bien rangé, c'est pas l'arrache comme en bretagne (et j'arrêtai pas de siffloter le générique pourrit de la série "weed's" (little box, little box...la lala...), inutile de préciser pourquoi...), ils sont comme réglés sur une même horloge mentale, une espèce de conscience collective à la "dark city"...et ils parlent une langue tellement étrange que j'ai même pas appris un seul mot...
J'ai cru que tout-le-monde allait arrêter de parler d'un coup en me pointant du doigt..."c'est lui, l'étranger... Il a pas de vélo...arrêtez-le... Ne le laissez pas s'échapper !!..."

En fait je pense aujourd'hui que les hollandais sont des reptiliens ayant copiés notre apparence...ils font comme si rien n'était mais je les ai grillé, et sans lunette...

-le temps qui reste-par serge reggiani

http://www.youtube.com/watch?v=8mQiRFgOiWQ

(je ne suis pas trop branché chansons sentimentales d'habitude, mais celle-ci est...percutante...)

c'est souvent comme ça que ça se passe avec les gens qui ont de la chance en amour (si multiplier les conquêtes peut être considéré comme une chance, c'est discutable quand on y pense, ça sent plutôt l'instabilité émotionnelle...) , j'ai reçu mon lot moi aussi: elles arrivent à leurs fins assez facilement, dés qu'elles ont décidées de se faire un mec, elles savent qu'elles peuvent l'avoir dans l'heure suivante... inconcevable quand t'es un mec, et fauché de surcroit...  et puis un jour, la nana arrive, elle s'est faite larguée et c'est elle qui a besoin d'être soutenue, besoin de ton aide, alors que pendant des mois, voir des années, elle n'en a rien eu à foutre de ton état à toi, de tes besoins, n'a même pas réagit en te voyant triste...quand ça ne l'amusait pas...

j'en ai eu des amie comme ça, à se faire tringler chaque week-end par un mec différent, et à venir s'en vanter devant toi après sans même te considérer...aujourd'hui je ne les vois plus, et je ne m'en porte pas plus mal.

et pour les mecs c'est pareil: c'est toujours ceux qui obtiennent ce qu'ils veulent assez facilement qui sont les plus égoïstes.

il y a quelques années, j'ai lu que les vrais amis se comptent sur les doigts d'une seules main...c'est fou à quel point c'est vrai: t'imagine pas le nombre de personnes que j'ai balayé de ma vie, et je vie très bien sans eux, et je ne pourrai pas me passer des mes meilleurs potes, pour rien au monde.

sinon, pour ton "amie", dis lui qu'elle aura qu'à raconter ce genre d'exploits à ses enfants, ils seront surement très fières de leur maman...
je sais bien que c'est ironique ce que j'écris, mais c'est gens là vivent tellement dans l'instant présent qu'ils se retrouvent à vivre en  pervers (je ne trouve pas d'autre mot...): vivre pour le plaisir, et ne jamais se priver, même si ça fait du mal aux autres...alors je prend aujourd'hui un petit plaisir à leur rebalancer en pleine poire ce qu'ils cherchent justement à dénier, à ranger dans un coin de leur cerveau pour se déresponsabiliser...

je passe le relai, sinon je vais dire de plus en plus de conneries...voici un petit texte de Boris Cyrulnik qui parle de ce genre de comportement bien mieux que moi...:

« Le sens des choses n’est pas dans la réalité objective, il est dans l’histoire et dans le but poursuivi » , Or nos victoires techniques viennent inventer le « bonhomme-instant ». l’homme fulgurant qui aime l’urgence car elle le pousse à l’acte en lui évitant de penser devient un forçat du présent dont le rapport au temps organise un style de vie : "Nous avons les moyens de jouir sans entrave. Amis épicuriens, groupons-nous pour lutter contre les rabat-joie qui veulent noue en empêcher ". Une telle solidarité procure le bonheur de la vertu indignée : "Nous ne faisons pas de mal. Nous voulons simplement jouir de la vie. "

Mais , ce réflexe ne donne pas au temps la durée qui permet la naissance du sens, ces groupes centrés sur la jouissance se désolidarisent très tôt et ne transmettent rien à leur amis ni à leur enfants. Le sens donne un bonheur durable et transmissible alors que le plaisir solitaire dure le temps d’un éclair.

Le sens se construit en nous avec ce qui est avant nous et après nous, avec l’histoire et la rêverie, l’origine et la descendance. Mais, si notre culture ou les circonstances ne disposent pas autour de nous quelques liens affectifs pour nous émouvoir et constituer des souvenirs, alors la privation d’affect et la perte de sens feront de nous des « bonhommes-instants ». Nous saurons jouir vite mais, en cas de malheur, nous serons privés des principaux facteurs de Résilience.

« Plus une société obtient un haut niveau d’organisation, plus les individus se désolidarisent » Plus les conditions de vies s’améliorent moins chaque homme a besoin des autres. Au contraire même, il est entravé dans sa course à l’amélioration de soi quand il s’occupe des autres, alors que, dans une société ou l’on ne peut vivre seul, s’occuper des autres, c’est se protéger.

-Boris Cyrulnik-

je capte pas: quelqu'un a accroché son vélo à un autre vélo, et le proprio de ce dernier a rapporté au premier son vélo emballé de papier alu pour se foutre de sa gueule ?...

c'est ce que je comprends en fait, mais je suis pas tout-à-fait sûr...