Il suffit d'un rien pour convaincre

Et la Brokkoli-division sait le faire.

Une planche de Marc Dubuisson.

Et la Brokkoli-division sait le faire.

Une planche de Marc Dubuisson.

Envoyé par Henry_Hill le 25 février 2016 à 13h42

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Tisla Lombric Shaolin

https://www.you...h?v=lyU-R-WA1mE

(J'hésite à le proposer comme fichier tiens...)
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Zebulon Man Faye Gang Bang Addict

Excellent ! :'))
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phil_good Ver singe (et torix)

Hitler, ce grand végétaryen...
Image de phil_good
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Zebulon En réponse à phil_good Man Faye Gang Bang Addict

Un Broccoli, Une Carotte, Une Soupe !
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Tezota En réponse à phil_good Lombric

Je croyais justement qu'il était contre les légumes.. Et les handicapés physiques.
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Osirinka En réponse à phil_good Modératrice

HITLER N’ÉTAIT PAS VÉGÉTARIEN

Selon de nombreuses sources dignes de confiance, de recherches et de témoignages, Hitler n’était pas végétarien, selon la stricte définition du végétarisme. Un végétarien c’est quelqu’un qui ne mange jamais de viande et jamais de poisson. Evidemment, plusieurs se qualifient de végétarien tout en continuant à manger du poisson ou du poulet, mais c’est là une erreur. Un authentique végétarien ne mange jamais de chair animale, de poisson ou de sous-produits de l’abattoir. Ce n’était pas le cas pour Hitler qui en public proclamait son adhésion au végétarisme mais en privé mangeait du jambon et des saucisses.

Hitler était obsédé par la santé de son corps, un hypocondriaque en quelque sorte. Il avait une peur maladive du cancer qui a probablement son origine dans le cancer du sein dont est morte sa mère en 1907. Peur aussi de la syphilis qu’il associait aux Juifs. Toute sa vie, il consultera de nombreux médecins. Il souffrait de flatulence excessive, dont l’odeur le gênait beaucoup. Il avait aussi des problèmes gastriques, de constipation, des démangeaisons de la peau, un accès de sudation et des tremblements musculaires A partir des années 30, il commença à ressentir par épisodes des douleurs aiguës et des crampes au niveau de l’abdomen supérieur droit, douleurs se manifestant peu après les repas. Pour soigner ses maux réels ou imaginaires, il a constaté que le fait de diminuer sa consommation de viande lui procurait un certain soulagement et ses médecins l’encouragèrent à adopter une alimentation sans viande.

Le canular du végétarisme d’Hitler se perpétue encore de nos jours grâce à son fidèle ministre de la propagande Joseph Geobbells. Ce dernier voyait Hitler comme une «incarnation de dieu », un avatar et un messie pour la venue d’une nouvelle race pure, un leader ascétique à la Gandhi ne touchant pas à la cigarette, à l’alcool et à la viande. Il est vrai cependant qu’Hitler était profondément anti-tabac. Le gouvernement nazi institua d’ailleurs l’une des lois les plus sévères contre la cigarette, l’interdisant dans les endroits publics, les lieux de travail, etc. Mais Hitler ne renonça jamais complètement à la viande, pas plus qu’à l’alcool. De nombreux biographes confirment qu’à tous les moments de sa vie où il se disait végétarien, il consommait toujours de la viande.

Selon John Tolan – dans son livre Adolph Hitler – l’alimentation de jeune étudiant Hitler consistait en « lait, saucisses et pain ».

Robert Payne – dans The life and Death of Adolph Hitler – mentionne lui aussi sa passion pour les saucisses bavaroises. Albert Speer indique pour sa part qu’il mangeait du jambon, du foie et du caviar. Il se disait contre la chasse mais n’avait pas de scrupules à manger du gibier.

Après la guerre Rudolf Dieals, un membre de la Gestapo, confirma qu’Hitler a toujours raffolé de Luberknodl, des boulettes faites à base de foie de boeuf ou de veau haché qu’on sert parfois dans de la soupe au poulet. Hitler en était friand, particulièrement si elles étaient préparées par son ami photographe Heirich Hoffman. En 1920 alors qu’il est invité chez le journaliste Otto Strasser, Hitler précisa qu’il ne mangeait pas de viande. Mais lorsqu’il vit que la femme du journaliste avait préparé un plat de viande de boeuf, il mit de côté ses soi-disant principes végétariens et en mangea.

Il n’arrêta pas non plus d’apprécier le pigeonneau rôti, comme le confirme Dione Lucas, chef-cuisinière vers la fin des années 30 dans un restaurant de Hambourg où Hitler avait coutume de venir manger. Par la suite, elle quitta l’Allemagne pour les Etats-Unis où elle ouvrit une école

(d'ailleurs ne pas oublier qu'il a tué froidement sa chienne "préféré", Blondi pendant la bataille de Berlin, il ordonna à son médecin, Ludwig Stumpfegger, de donner des capsules de cyanure à Blondi pour s'assurer qu'elles étaient bien efficaces)
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Ptoncule En réponse à Osirinka

Hitler il lâchait des grosses caisses, lol.
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